voiture 3
direction: frais de Brian
Titre en VO : voiture 3
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2017 date de sortie: 14/07/2017 période: 102 le sexe: dessin animé Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Jean Lasseter
résumé: Aveuglé par une nouvelle génération de coureurs de vitesse, le légendaire Lightning McQueen a été soudainement mis à l’écart par le sport qu’il aimait tant. Pour remettre sa carrière sur les rails, il a besoin de l’aide d’une jeune mécanicienne de course, Cruz Ramirez, avec son plan gagnant, ainsi que de l’inspiration du regretté Fabulous Hudson Hornet et de quelques rebondissements inattendus.
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Le meilleur : souvenirs émotionnels du Dr Hudson.
Le pire de tout : le pilote automatique est évident (jeu de mots).
« Cars » (John Lasseter, 2006), proposant en outre un univers vertigineux et insolite peuplé entièrement de véhicules à pneus vivants, sans aucune trace de personnes (vraisemblablement, des voitures, des camions, des camping-cars ou des grues) baisent et produisent de petits véhicules), par citant deux grands acteurs cultes dans « Burning Giant » (John Guillermin, 1974) : The Merry and Likeable Hero Pixar prend le nom de famille de Steve McKay Kun, et avec un grand succès, il signe Paul Newman lui-même pour donner la parole à l’ancien champion Dr. Hudson, un personnage plein de mélancolie (oui : personnage) qui allait malheureusement mettre fin à son travail cinématographique. Pourtant Cars 3, le titre le plus faible de la trilogie, a son côté carrément émouvant, reconstituant Hudson, s’il était déjà une légende de Cars, désormais, physiquement absent, est un mythe du feu d’une grande puissance.
Alors que Cars 3 entre dans le royaume mythique des rugissements à quatre roues, Ayant allumé la précieuse flamme qui contient tous les souvenirs de l’Occident, la légende n’était plus de ce type depuis le début, mais ici elle a gagné sa propre lumière. Dans ce souvenir, Doc (Doc ! Existe-t-il un nom plus occidental ?) nous renvoie même au juge Newman Roy Bing dans « Judge by the Gallows » (John Huston, 1972). Le reste, les films de Brian Fey, sont certainement dynamiques et bien faits, et n’atteignent pas tout à fait le haut niveau auquel Pixar nous a habitués. Allez, ils n’ont pas fait cette trilogie comme ils l’ont fait dans Toy Story (1995, 1999 et 2010) : ce sont tous des chefs-d’œuvre de la même tige cloutée de diamants.
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