victoire de l’amour
direction: Claire Péplo
distribuer: Mira Sorvino, Ben Kingsley, Fiona Shaw, Jay Rodin, Ignazio Oliva
Titre en VO : victoire de l’amour
Pays de citoyenneté: Royaume-Uni, Italie an: 2001 date de sortie: 04-01-2002 période: 107 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Claire Peplo, Bernardo Bertolucci, Marilyn Goldin la photographie: Fabio Chancetti musique: Jason Osborn
résumé: Une princesse (Mira Sorvino), avec l’aide de sa fidèle servante (Rachel Sterling), se lance dans un jeu complexe de manigances impliquant des personnalités doubles et triples (dont certaines masculines), et d’innombrables conspirations pour gagner un prince. (Jay Rodin) et restaurer le trône qui lui appartenait (usurpé par le père de la princesse).
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Alors que les Français continuent d’appliquer l’adjectif marivauxdien à un certain type de sitcom, la vérité est que presque personne ne parle de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, le journaliste et dramaturge parisien qui a commencé sa carrière à partir de ¿µ settecento¿ La première moitié de la première moitié est devenue populaire avec « La surprise de l’amour » en 1722 et une décennie plus tard a été créée « Le triomphe de l’amour », que Claire Peplo reprend maintenant dans un film simple, rafraîchissant et très divertissant, Retenant l’essence de la des dialogues originaux et respectueux sont désormais présentés dans un anglais magnifique grâce à une distribution d’acteurs en état de grâce. Naturellement, on est face à une histoire qui correspond bien aux quiproquos, aux costumes et aux échanges qu’affectionne Mariver, mais ne cache finalement rien d’autre qu’une réflexion sur les mécanismes de l’amour et de la séduction plus ou moins frivoles, mais justes. C’est un texte espiègle tellement accrocheur que la réalisatrice et ses coscénaristes déversent quelques gouttes d’aliénation (les personnages sont en réalité des acteurs représentant le drame à ciel ouvert) sans violer le style direct de l’œuvre originale. La princesse et sa servante vont et viennent, s’introduisent dans la retraite d’un prince déchu et rétablissent la justice avec un mariage qui plaît à chacun, libre de faire ce qu’il veut, mais la scène éclairée et l’extraordinaire talent des acteurs donnent Authenticité et proximité font ce spectacle captivant. Un plan très retenu qui passe sans sentiment, dans ce jouet presque comédie musicale, considérant comment l’émotion de l’amour triomphe enfin des diktats de la raison, jusqu’à ce moment, le meilleur film de Madame Bertolucci. >> Pour les romantiques incurables qui n’y croient pas tout à fait. >> Meilleur : Mira Sorvino, Fiona Shaw et Ben Kingsley. >> Le pire de tout : à ce stade, nous devons recourir à Marivor pour parler de tentation.
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