vague de criminalité
commun
direction: Grace Craigette
distribuer: Maribel Verdú, Juana Acosta, Paula Echevarría, Antonio Resines, Raul Arevalo
Titre en VO : vague de criminalité
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2018 date de sortie: 05-10-2018 le sexe: comédie noire Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Luis Marias la photographie: Ange Amoros musique: Juan Federico Jusid
résumé: Le fils adolescent de Leyre ( Maribel Verdú ), une femme au foyer divorcée, tue son père dans un accès de rage. Bien qu’elle ait elle-même déclenché une vague de criminalité chaotique dans la ville de Bilbao, elle a décidé de faire l’impossible pour le cacher. Pendant ce temps, la nouvelle épouse du défunt (Paula Echevarría) et son impitoyable avocate (Juana Acosta) tentent de cacher le juteux complot de corruption qu’ils préparent. Mais c’est sans compter sur l’obstination des deux inspecteurs d’Ertzaintza (Antonio Resines et Raúl Peña) qui étaient en charge de l’affaire.
Le plus : Un casting parfaitement combiné.
Le pire : le rythme de la scène est avare.
Travail inachevé dans le film de Pedro Almodóvar, où Maribel Verdú, une femme typique au bord de la dépression nerveuse, est impliquée dans « Volver » (2006) Les mêmes Scrubs dans la mémorable Raymonda (Penelope Cruz): nettoyer la scène des crimes le fils commet et cache les raides, pas plus que le père (Luis Tossa dans son côté profondément ogre) ). La prémisse bifurque dans plusieurs directions, évoquant une faune colorée : la nouvelle épouse du défunt et ses avocats (Paula Echevarría et Juana Acosta), deux filles très dangereuses ; un détective supérieur de police vertueux (Antonio Acosta. Resines) trouve soudain la joie d’être discrédité; un chauffeur de taxi troublé (Raul Arevalo) et un prêtre nerveux et occupé (Javier Camara) à qui le protagoniste désespéré se confesse.
Puisqu’il s’agit d’une comédie en habit de deuil, les cadavres se multiplient avec les normes de l’humour noir. À l’origine scénariste des deux premiers films d’Enrique Urbizu, « Tu novia está loca » (1988) et « Todo por la Pasta » (1991), Luis Marías est déjà un expert consommé des structures comiques enchevêtrées, où il a assemblé un artefact fonctionnel composé de pièces bien connectées. L’oeuvre de Gracia Querejeta manque un peu d’air, plus de dynamisme, mais c’est relativement sans conséquence : le rythme est donné par les comédiens, bourrés de lynx aguerris au genre qui savent enfiler les répliques que chaque situation appelle Quelle bonne posture, où devraient-ils se retirer et où se libérer. Ils n’échoueront pas.
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