une grande beauté
direction: Paul Sorrentin
distribuer: Toni Servillo, Carlo Verdone, Sabrina Ferilli, Carlo Buccirosso, Iaia Forte
Titre en VO : une grande beauté
Pays de citoyenneté: Italie an: 2013 Date de sortie: 05-12-2013 point final: 142 le sexe: Comédie dramatique Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Paolo Sorrentino, Umberto Contarello la photographie: Luca Bigazi la musique: Lélé Marcitelli
sommaire: Rome, un été au milieu de l’été. Les touristes affluent vers le mont Janicule – un touriste japonais s’est évanoui à la vue. Jep Gambardella (Toni Servillo) est un homme irrésistiblement captivant qui vous fait ignorer ses premiers signes de vieillissement. Jep profite pleinement de la vie sociale de la ville. Elle assiste à des dîners et à des fêtes chics, accueillant toujours son esprit et sa charmante compagnie. Journaliste à succès et séductrice naturelle, il écrit un roman jeunesse pour lequel il remporte un prix littéraire et une réputation d’auteur frustré. Il cache son désenchantement par une attitude cynique qui lui fait voir le monde avec une certaine sobriété douloureuse. Sur la terrasse de son appartement à Rome, surplombant le Colisée, il organisait des soirées où « La Machine Humaine » – le titre de son célèbre roman – était exposée nue et la grande « Comédie du Néant » était mise en scène. Lassé de son train de vie, Jep rêve d’écrire à nouveau, accroché au souvenir de son jeune amour toujours ancré. Va-t-il l’obtenir ? Dans une ville dont la beauté paralyse parfois, peut-il supporter une forte aversion pour lui-même et pour les autres ?
la revue
Meilleur : La scène où Jeff énonce quatre vérités.
Scénario du pire : Ne pas profiter de son blues à cause d’un excès.
« The Big Beauty » s’ouvre sur l’une des meilleures soirées filmées de l’histoire – une célébration couchée du kitsch de Berlusco, un défilé de monstres qu’il faut croire – précisément pour nous dire que la fête est finie. Dans Jep Gambardella, maître de cérémonie d’une soirée aussi fastueuse (l’inoubliable quatrième collaboration entre Toni Cervero et Sorrentino), il n’est pas difficile de retrouver l’ombre de Marcelo Roubini dans la Dolce Vita, c’est comme si les portraits décadents de Fellini n’avaient pas changé d’un poil en plus d’un demi-siècle. Mais pour un film qui traite si généreusement son public, ce serait rendre un mauvais service que de le voir comme un simple hommage.
Dans « La Grande Beauté », les fantômes de « Juliette de l’âme » (1965) sont projetés, et la fantasmagorique Ville éternelle respire « Rome » (1972), mais quand Gambardella étouffe ses émotions grotesques À l’époque, son errance dans cercles séparés de son héritage fellinien et plongé dans la mélancolie. Les cinémas de Sorrentino sont aussi proches de l’absurde (« the place to stay ») que du majestueux. Si ses tendances excessives et sa sérendipité le font paraître maigre, c’est parce que tout l’intéresse, des interprètes ridicules aux nonnes momifiées. En termes simples, il sait mettre le monde à nos pieds.
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