Un jour parfait
direction: Fernando Léon de Aranoa
distribuer: Tim Robbins, Benicio del Toro, Olga Kurylenko, Mélanie Thierry, Fedja Stuccan, Eldar Residovic
Titre en VO : Un jour parfait
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2015 date de sortie: 28-08-2015 période: 105 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Fernando Léon de Aranoa la photographie: Alex Catalan musique: Anau Batal
résumé: Sophie (Melanie Thierry) veut aider, Mambro (Benicio del Toro) veut rentrer chez lui et Katia (Olga Kurylenko) a autrefois aimé Mambru. Damir (Fedja Stukan) veut mettre fin à la guerre, Nikola (Eldar Residovic) veut un bal, B (Tim Robbins) ne sait pas ce qu’il veut. Mais ce que vous voulez correspond rarement à ce dont vous avez besoin.
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Le meilleur : Ses échos de l’ouest belliciste.
Le pire : il y a trop de musique.
Oui, Mirito Torreiro.
First Strike : place l’action à l’endroit et au moment d’une guerre civile, un pays des Balkans où la guerre civile est terminée, mais où la paix n’a pas encore été établie. Le moment d’incertitude, « où l’ancien inachevé meurt et le nouvel inachevé s’impose », pour paraphraser l’ancien Gramsci. Une époque où tout peut arriver. Deuxième succès : une galerie de personnages, tous avec des sacs à dos. Bien sûr, il était porté par des étrangers, mais plus encore par des locaux, qui n’étaient pas nombreux mais constituaient un fond de menace. Bien sûr, il y a des victimes. Third Strike : Raconter les événements sans que le réalisateur ne soit confondu avec l’un des personnages. Un lion plus comportemental que jamais dans sa carrière laisse ses créatures se déplacer dans l’incertitude de la façon dont elles savent se déplacer. Le résultat : un film apaisant et dérangeant, une leçon d’humanité qui ne prétend pas être en classe.
Contre, par Sergi Sanchez.
Le même chien a des colliers différents. Cela dit, même s’il est en anglais, qu’il met en vedette des acteurs internationaux et qu’il se déroule dans la guerre civile de l’ex-Yougoslavie, « A Perfect Day » est un film de Fernando Leon de Aranoa. L’histoire a une certaine efficacité, notamment grâce aux westerns classiques, Mais son approche du cinéma humaniste, si soucieux d’exposer l’injustice du monde et la noblesse de ses victimes, sonne toujours aussi fausse et artificielle. Un portrait d’un groupe honnête, coincé entre l’inefficacité du pouvoir institutionnel et le désespoir de survie des faibles, construit avec des carrés et des biseaux, Il n’y a pas une trace de coup de chance, pas même une trace d’ambiguïté qui ne se résolve pas avec des mots ou de l’impuissance, mais la compréhension du protagoniste qui fait sa part.A notre grand regret, León de Aranoa est bien loin de son terrain habituel, mais il se ressemble tout de même.
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