Tu ne fais pas confiance à aujourd’hui, demain c’est
direction: Francisco Avezanda
distribuer: Jesus Noguero, Albert Platt, Alfonso Torregrosa, Jose Maria Asin, Carolina Bona
Titre en VO : Tu ne fais pas confiance à aujourd’hui, demain c’est
Pays de citoyenneté: Espagne an: Année 2008 Date de sortie: 20-02-2009 point final: 118 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Francisco Avezanda la photographie: Jon Dominguez la musique: David Osterberg, Goran Capez
sommaire: Un voyage en Espagne en 1953 suit les aventures d’une jeune femme (Caronia Bona) qui survit en tant que dénonciatrice de la police. Un portrait de femme qui synthétise joliment les époques et les parcours suivis par une partie de la société. Le protagoniste est une métaphore de l’espagnol de l’époque, expliquant en partie ce que nous sommes maintenant ou où nous en sommes aujourd’hui.
la revue
The Best : Un groupe d’acteurs bons et peu connus.
Le pire de tout : une certaine retenue lorsqu’il s’agit de tirer le meilleur parti d’un drame sexuel.
Nous avons lu, vu et entendu de nombreuses histoires grises sur l’Espagne grise d’après-guerre. En effet, toute histoire pendant et après notre ignominieuse guerre civile est devenue une caractéristique locale du cinéma national, et un grand (et récent) échantillon de cet engouement est, à mon avis, une déception.ce n’est pas le cas Tu ne fais pas confiance à aujourd’hui, demain c’estEssentiellement parce que, situé au début des années 1950, il expliquait certains faits (le réseau d’espionnage dense, froid et sale du régime franquiste) qui ont été oubliés sur grand écran à ce jour.On assiste à la naissance du Secret Service ou du Department of Homeland Security, aussi sale et meurtrier qu’on l’a vu la vie des autres, bien que l’accent du réalisateur soit celui des confidents qui déambulent au pied de la rue, de la cafétéria, de la pension ou du meublé. Eh bien, il n’y a pas vraiment de package de Juan Marce ou Vicente Aranda sur l’histoire de la souffrance et de la survie, cependant, cela pourrait être Francisco Gonzalez Ledesma ou Antonio Drov… … même J. Port. Alors que le décor est comme d’habitude (avec ce ton décharné et cette odeur de pisse nécessaires, bien sûr), la suite du film est intriguée par ce qu’il décrit et trouve, ainsi que par le drame de Gilda (pour être exact : il y a un hommage à Charles Vidor ( Black Man dans le film culte du même nom), le protagoniste, partagé et coincé entre deux hommes, entre sexualité et romance. Tout aussi perdu et voué à une fin sombre que cette Espagne elle-même.
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