tu es mon héros
direction: Antonio Quadri
distribuer: Manuel Lozano, Tony Canto, Antonio Decant, Maru Valdiviso, Mario Zorilla, Juan Fernandez
Titre en VO : tu es mon héros
Pays de citoyenneté: Espagne an: Année 2003 Date de sortie: 30-05-2003 point final: 103 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Antonio Cudry, Miguel Angel Pérez, Carlos Açores la photographie: Alex Catalogne la musique: Caritas Borenska
sommaire: Séville (1975). Ramon (Manuel Lozano) est un garçon de 13 ans qui ne cesse de changer de ville, d’école, de maison, d’amis… toujours en suivant le destin de son père, un ouvrier des Galerías Preciados. Maintenant qu’il vit à Séville, tous ses changements émotionnels et hormonaux – entrant dans une adolescence turbulente – coïncident avec les bouleversements sociaux et politiques de l’époque.
la revue
Au moins de l’esprit de ruche révolutionnaire (et sans précédent), la réflexion historique avec les enfants semble être un régal, profondément enraciné dans nos films. Maintenant, après Carroll’s Journey (Civil War) ou Secret of the Heart (Post-War), c’est 1975, l’année de la mort du dictateur, une nouvelle aventure, quoique proche. Comme beaucoup de films avec des enfants, dans celui-ci, la voix du narrateur est un peu trop sensible, certaines séquences sont trop tendues et certaines sources un peu tirées par les cheveux, quoique incontestablement originales (il faut voir Antonio Dechent apparaître devant l’enfant) : une découverte). Mais il y a aussi une richesse d’authenticité, le processus comique tendre de prise de responsabilité devant la vie et l’histoire (savoir sur l’amour, l’engagement, la trahison ; aussi la trahison la plus intime), et même des moments narratifs et moraux d’une efficacité diabolique : Voir Ramon (Lozano : il fait de nous le Jorge Sanz de sa génération) interrogé par deux sinistres professeurs Facha. Le résultat est un film qui ne cligne pas des yeux, sourit sans vergogne et pleure même s’il y a une certaine dose de joie, et au final, il s’avère plus intéressant à regarder que la façon dont l’émission télévisée Cuéntame s’est déroulée : parce que la sentimentalité sur le Depuis 30 ans, l’éducation au sein de la petite bourgeoisie revêt diverses couleurs dans cette Espagne. Pour ceux qui s’intéressent à la pédagogie fantaisiste et aux félipistes convaincus. Idéal pour : la nature des enfants. Le pire de tout : un certain allongement de séquence.
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