trois cordonniers
direction: Bobby FarrellyPeter Farrelly
distribuer: Chris Diamantopoulos, Sean Hayes, Will Sasso, Richard Jenkins
Titre en VO : trois cordonniers
an: 2012 date de sortie: 17-08-2012 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Bobby Farrelly, Peter Farrelly, Mike Cerrone la photographie: Matthew F. Leonetti
résumé: Abandonnés à la porte d’un orphelinat dirigé par des nonnes, les nouveau-nés Moe, Larry et Curly sont élevés à un niveau inconnu de stupidité pathétique en pointant leurs yeux, en faisant des grimaces bizarres et en essayant d’attirer quiconque leur dit. Désormais déterminés à sauver la maison de leur enfance, seuls trois comparses se retrouveront impliqués dans un complot criminel frivole… et, par pur hasard, joueront le rôle principal dans une émission de téléréalité au succès fou.
critiquer
Le plus : La représentation parfaite des trois acteurs.
Le pire de tout : quelqu’un ne voit que de la « merde ».
Projet de longue date, les frères Farrelly ont enfin réalisé leur rêve de faire un film du très célèbre trio américain de bandes dessinées, dont la carrière s’est étendue sur plus d’un demi-siècle de travail ininterrompu. Ils n’étaient pas toujours les mêmes, mais ceux qui pénétraient le plus étaient Moe, Curly Howard et Larry Fine. Le véritable humour corporel des Trois Stooges commence par leur propre anatomie, admirable chorégraphie corporelle : gifles à bout portant, coups à la tête, index et majeur projetés dans les yeux d’autrui, morsures, coups de pied de trahison aux jambes et de nombreux caramboles à deux personnes, trois bandes. Si ses membres sont plus que suffisants, son utilisation impressionnante des objets anime sa comédie : balai, bâton, marteau, pince, maillet… Comédie élémentaire ? Pas nécessairement : dans « Calling All Curs » (1939), Curly parle au-dessus d’un talkie-walkie, d’où sort le poing de l’interlocuteur (Moe), le frappant au visage.
Dans « Retour du front » (1943), ils renversèrent deux navires, deux d’entre eux, et vainquirent des ennemis déguisés en nazis : Moe était Hitler, avec la peau bouclée de Goebbels. Eh bien, avec les corps et les gestes des trois acteurs épinglés ensemble, les Farrellies ont réussi à faire une comédie Stooges chimiquement pure : une « farce » hyperbolique d’une heure et demie qui contrôle le bâillon et sa mécanique, qui ne rappelle pas seulement le trio gagnants, mais proches, très proches, le meilleur de Jerry Lewis, de grands mots : des scènes, dans l’orphelinat, sur le toit, des échelles, des scies mécaniques, des cloches géantes, des nonnes acceptant tout le mal et Battre un prêtre violeur présumé constitue un segment d’un comédie que personne ne peut faire aujourd’hui. Pas de rhétorique, pas d’alibi intellectuel, comme les vrais Stooges.
Ce contenu est créé et maintenu par des tiers et importé dans cette page pour aider les utilisateurs à fournir leurs adresses e-mail.Vous pouvez trouver plus d’informations à ce sujet et sur du contenu similaire sur piano.io