Tous les films « Dragon Ball », classés du meilleur au pire
Dragon Ball Super : Broly prend d’assaut le box-office mondial. Avec une structure rappelant un film Marvel et des animations de combat créatives, beaucoup affirment que le dernier film d’animation d’Akira Toriyama est le meilleur. La vérité est qu’il est même difficile de compter combien au total. Nous avons considéré les téléfilms, y compris les doubles chapitres spéciaux, essentiellement tout ce qui pourrait être considéré en dehors d’un épisode de série, et nous en avons trouvé 26, même s’ils disent généralement qu’ils n’en ont que 20. Découvrez chacun d’eux, afin que tout ce que nous pouvons plus ou moins appeler le « Dragon Ball Movie » aille du meilleur au pire.
26 « Dragon Ball Z : Goku et ses amis reviennent » (Yoshihiro Ueda, 2008)
Présente l’inutile et hors de propos Tarble, le frère faible de Vegeta, qui vient chercher de l’aide pour se protéger de certains ennemis qui ne s’entraînent qu’en tant qu’enfant de la famille jusqu’à la fin du film. Merci M. Satan pour un peu d’humour, mais rien d’autre.
25 « Dragon Ball Z : Le plus fort du monde » (Daisuke Nishio, 1989)
La cinquième partie de l’animation, la deuxième partie de la scène Z. Goku combat le médecin le plus oublié de la saga (Yu Liu). Pour vaincre l’ennemi, Goku utilise le mini Genkidama dans le robot.
24 « Dragon Ball Z : La Bataille Ultime » (Yoshihiro Ueda, 1994)
Le troisième film, et le dernier à ce jour, est basé sur le personnage de Broly. Comme on peut le voir sur la photo, le légendaire Super Saiyan s’est pas mal détérioré. Ce slime géant encore Broly combattra Trunks et Goten dans l’usine. Il nous a fait croire que le rôle était joué, il nous a trompés.
23 « Dragon Ball Z : Le plan pour détruire tous les Saiyans » (Maoyasu Yamauchi, 1993)
Nous rencontrons un autre docteur maléfique, cette fois nommé Reich. Sorti en deux épisodes et à mi-chemin du remake de 2010, le film raconte comment, avant le Cell Championship, la planète entière était menacée par une mystérieuse attaque au gaz. Plus important encore, voyez le niveau de puissance de notre protagoniste devant les cellules.
22 « Dragon Ball : Mystery Adventure » (Kazuhisa Takeuchi et Miyuki Okazaki, 1988)
traverser Toriyama rejoint Arale (« Doctor Slump ») dans les aventures de Goku. Il s’agit d’une extension du chapitre Dragon Ball, dans lequel nos héros combattent le charismatique Peach Pie.
21 « Dragon Ball GT : 100 ans plus tard » (Osamu Kasai, 1997)
Le seul Dragon Ball GT OVA que nous pouvons considérer comme le plus éloigné de l’histoire de Goku. Dans les dernières images GT, les descendants de Goku et l’autre de Vegeta se battent en tant que petit Super Saiyan, avec Goku apparaissant sous forme d’esprit pour la dernière fois, montrant un chemin courageux. Nous ne t’oublierons jamais Goku. Pour ce film, oui.
20 « Dragon Ball : La Belle au bois dormant du château maléfique » (Daisuke Nishio, 1987)
Si vous êtes un fan de Dragon Ball, lorsque notre héros ne survole que les nuages, sa meilleure arme est une baguette magique, et l’arme la plus puissante du monde est (et est toujours, même s’il la cache) Maître Roshi, le deuxième anime film que vous allez adorer. Goku et Kobayashi doivent sauver la princesse (Bulma) du château plein de monstres.
19 « Dragon Ball Z : Les Trois Grands Super Saiyan » (Daisuke Nishio, 1992)
Selon l’histoire, le Dr Gero a créé plus de robots mortels (comment celui-là s’est propagé !). Le problème vient quand N°13, N°14 et N°15 sont combinés en un seul…
18 « Dragon Ball : La Collection Bardock » (Yoshihiro Ueda, 2011)
Oui, Broly est le grand méchant du film et Bardock est le grand héros. La deuxième histoire nous montre, juste avant sa mort, comment il a réussi à remonter le temps et, oui, à devenir le premier Super Saiyan, et le légendaire dont Freezer avait peur. oui les lévriers viennent de caste…
17 « Dragon Ball Z : Le retour de Broly » (Shioyasu Yamauchi, 1994)
Le kamehameha conjoint de Goku et Gohan est le moment. Pour cette raison, nous avons eu une attaque combinée de notre trio Earthling Saiyan préféré depuis la deuxième apparition de Broly. Kiki serait plus fier s’ils étudiaient, mais…
16 « Dragon Ball Z : Super Guerrier Son Goku » (Mio Hashimoto, 1991)
Avec la permission des Saiyans, s’il existe une race charismatique dans l’univers, ce sont les Namekians. C’est un combat très diabolique, appelé limace, entre la régénération des membres et la transformation en géant, ce qui en fait un combat assez décent.
15 « Dragon Ball Z : Les Guerriers au Pouvoir Infini » (Daisuke Nishio, 1992)
Si Mecha-Frieza peut retenir son souffle de l’épée de Trunks, son frère Metal Cooler est encore plus difficile pour Goky et Vegeta. Surtout parce qu’il y en a des centaines. L’astuce, bien sûr, est de détruire les cerveaux qui les contrôlent tous.
14 « Dragon Ball : Légende du dragon Xeron » (Daisuke Nishio, 1986)
le premier film de l’anime, même s’il était essentiellement refaire Chapitre 1, qui enlève ses vertus… rien ne vaut le chapitre 1.
13 « Dragon Ball Z : La Résurrection de F » (Tadayoshi Yamamuro, 2015)
L’avant-dernier film et le deuxième de la super saga a la vertu de ressusciter le grand et maléfique empereur de l’univers et de lui donner une nouvelle forme à son apogée, la Freezer dorée. En plus de cela, le dernier saut dans le temps était quelque chose que peu d’entre nous attendaient.
12 « Dragon Ball Z : Le Choc des Dieux » (Masahiro Hosoda, 2013)
Les films liés à « Dragon Ball Super » ont ressuscité l’animation plus que l’irrégularité et la mauvaise qualité de la série. La défense de Bulma, Whis et Beerus par Vegeta, ainsi que l’apparence presque androgyne de Goku en tant que dieu Super Saiyan, ont abouti à un film très respectable.
11 « Dragon Ball Z : Garrick l’Immortel » (Daisuke Nishio, 1989)
Alors que nous ne savions même pas que le Dieu de la Terre était un Namekian, nous avons rencontré Garrick le Jeune, un être immortel maléfique, et donc difficile à battre. Son erreur était de ne pas savoir que, comme nous, ça valait la peine d’embêter Gohan.
10 « Dragon Ball Z : Super Bataille » (Daisuke Nishio, 1990)
Outre Broly, d’autres Saiyans solitaires et maléfiques sont également apparus. Turles sont très similaires à Bardock et Goku, plus ou moins pareils. Il est sale et ses tours sont plus brutaux que d’habitude. Un autre gars qui ne sait pas à quel point il est indésirable d’ennuyer Goku… et Gohan.
9 « Dragon Ball : La route vers le plus fort » (Yamanuchi Shigeyasu, 1996)
Réalisé pour le dixième anniversaire de la série, il résume tout le processus de l’anime du début à la fin de l’Armée du ruban rouge, et est peut-être l’étape la plus remarquable de l’anime. Surtout si vous préférez l’aventure et l’humour de ses personnages aux combats de quinze chapitres.
8 « Dragon Ball Z : Meilleur rival » (Mio Hashimoto, 1991)
On n’en a jamais assez des débuts de Freeza et Cooler, ce qui soulage un peu le singe. Eh bien, c’est un remplaçant, mais ça vaut le coup de voir Goku devenir un Super Saiyan pour la deuxième fois.
7 « Dragon Ball Z : Les Guerriers d’Argent » (Yoshihiro Ueda, 1993)
Nous avons tous un peu mûri lorsque Gohan est devenu Super Saiyan Phase 2 Beat Cell. BoJack et ses Silver Warriors sont la deuxième et dernière fois que nous voyons comment ce noble garçon se transforme en un homme en quelques secondes, puis une mèche de cheveux sur son front.
6 « Dragon Ball Z : Fusion ! » (Shioyasu Yamauchi, 1995)
Jusqu’à présent, la seule fois où Goku et Vegeta ont utilisé la technologie de fusion dans la série, c’est dans Super Saiyan Phase 4 de GT. Cela dit, c’est la première apparition de Gogeta. Les batailles imaginatives et colorées en enfer et le fait de voir la plupart des grands méchants animés prendre vie en font l’un des meilleurs films.
5 « Dragon Ball Z : L’Attaque du Dragon » (Mio Hashimoto, 1995)
Tapion est un personnage solitaire charismatique qui cache au fond de son cœur mélancolique un monstre terrifiant et énorme nommé Hildegan. Nous parlons peut-être de la meilleure histoire de tous les films. Quant au combat, c’est une chance de voir plus de l’insaisissable Super Saiyan Phase 3 de Goku et de son attaque souvent manquée, Dragon Fist.
4 « Dragon Ball Z : Duel Outbreak » (Shigeyasu Yamauchi, 1993)
Les débuts de Broly, plus brutaux et massifs que jamais. Voir comment il démolit des murs et des murs avec la tête d’autres Super Saiyans restera à jamais dans nos esprits. Dans cette version, il est plus méchant, plus violent et plus enfantin que les films récents. Mais avouons-le, son histoire n’est pas si subtile.
3 « Dragon Ball Super : Broly » (Tatsuya Nagling, 2018)
Nous parlons de l’animation de Toriyama à son meilleur dans les théâtres, du prologue aux parents de Goku, de l’enfance de Broly et de la présence de grands personnages secondaires comme Chirai et Lemo qui définissent bien l’histoire. L’humour (chocolat) et la nouveauté sont également revenus dans l’animation du combat (quand on était Broly à la première personne). Dommage que la fin soit trop décevante, sans moments épiques ni drames. Quelque chose qu’ils doivent sauver…