‘The Great Seven’: un ‘remake’ correct mais non pertinent s’ouvre à Toronto
Denzel Washington et Chris Pratt font partie d’une nouvelle génération de « sept dieux »
De quoi s’agit-il?Les habitants de Rose Creek sont terrifiés sous le contrôle du dangereux voyou Bartholomew Bogue (Pierre Sarsgaard), ils ont décidé d’engager sept hors-la-loi pour mettre fin à la menace : Sam Chisolm (Denzel Washington), Josh Faraday (Chris Pratt), Bonsoir Robisher (Ethan Hawke), Jack’s (Vincent Donofrio), Billy Locke (Lee Byung-hun), Vasquez (Manuel García Rulfo) et Moisson rouge (Martin Sensmeier). Cependant, ces sept vont bientôt se rendre compte qu’ils se battent pour plus que de l’argent.
Comment ça se passe ?Le phénomène « remake » est pour le moins curieux. Il a mauvaise réputation et l’industrie en abuse au point d’en faire une blague, mais la vérité est qu’il y a une tendance à refaire des histoires qui ont déjà été racontées parce que les films sont des films (le premier remontant à 1905). Des films comme Eleven, Infernal Affairs, Heat ou Wicked Dead montrent que les nouvelles versions peuvent avoir une vision et un but avec les bonnes personnes à la barre. Antoine Fuqua se détourne d’une vis de réalisateur de western « Sept Grands Hommes » (Ce titre est déjà une version classique d’Akira Kurosawa « Sept Samouraïs ») est l’un de ces cas frustrants où un film finit par être indifférent au public.Il n’y a rien de particulièrement négatif dans la proposition, mais rien ne vaut non plus le passage au box-office Une histoire qu’on nous a déjà racontée avec plus de grâce, d’intention et de flair.
Fuqua s’emballe et exploite les possibilités de la technologie et du budget à l’apogée de l’épisode, mais il est trop tard : le long deuxième acte du film et le cliché d’un genre que le scénario visite encore et encore Les feux d’artifice du duel final connaissent peu à peuCela n’aide pas que les acteurs ne fassent que passer – à des exceptions comme Ethan Hawke et Vincent D’Onofrio – et Chris Pratt confirme qu’il est le personnage principal de son troisième film et qu’il est trop riche Les tics qui ont si bien fonctionné dans « Les Gardiens de la Galaxie ». La même chose arrive à l’acteur que Fuqua a fait avec son matériel source : parce qu’il sait que ça marche, il ne prend pas la peine d’en rajouter sur le papier pour son personnage.
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