Super López
Cinéma Zêta
direction: Javier Ruiz Caldeira
distribuer: Dani Rovira, Alessandra Jimenez, Julian Lopez, Pedro Casablanc, Gracia Orayo, Maribel Verdu, Nao Al bet
Titre en VO : Super López
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2018 date de sortie: 23-11-2018 le sexe: comédie fantastique Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Borja Cobeaga, Diego San José la photographie: Arnau Valls Colomerng musique: Fernando Vélasquez
résumé: La vie n’a pas été facile pour Juan López depuis son arrivée sur Terre depuis la planète Chitón. Avoir des super pouvoirs est difficile de ne pas se démarquer. Être capable de voler, de lire dans les pensées, de surveiller ou d’empêcher une rame de métro de dérailler… puis de retourner au bureau et d’essayer d’être un être humain normal n’est pas une tâche facile pour Juan Lopez. Peut-être que oui, car Juan n’a besoin que d’un croissant le matin pour être heureux… mais, quelque chose est sur le point de changer. L’apparition de la vie bien organisée de López de Luisa, l’ancien chéri du lycée, va faire des ravages. Ce n’est pas le moment d’être ignoré. Bien que cela puisse attirer l’attention du maléfique Skorba et de sa fille sorcière Agata et mettre en danger l’existence même de leur planète natale.
Le meilleur : Des scènes délicieuses et classiques de Drunk et Moreo.
Le pire de tout : les fans non comiques n’ont pas vu le camée final.
Alors que l’épopée Marvel Machines aurait besoin de deux ou trois super films, Beyond Infinity et Civil War, pour capter l’idée de l’Iliade cannibale qui gangrène son univers, Super Lopez, le monde Bruguera du réalisateur regorge de sagesse. Un second arrêt humoristique Javier Ruiz Caldera décrit le vortex des héros déguisés dans l’ordre le plus précis : ces simulateurs à part entière, ces imitateurs du marché chinois, l’un des protagonistes quadricolores d’Odyssey, entre bidonvilles et combats de rue et sur grand écran.
Dans cette mêlée hilarante et crasseuse, où des hooligans ridiculement costumés affrontent le protagoniste du film, déjà camouflé, non pas pour sauver le monde, mais la femme de ses rêves, on peut trouver la clé de ce film, c’est une parodie qui refuse d’être . Une anomalie dans un environnement médiocre (notre industrie).
Kryptonite pour poulets. Superlopez est très fidèle, non seulement aux bandes dessinées de Jan, mais aussi au classique Superman de 1978 de Richard Donner (scènes chez son père, épisodes de métro…). Oui, les scripts de Borja Cobeaga et Diego San José, ainsi que les yeux du réalisateur, recherchent la comédie nationale que nous calomnions depuis des années, trouvant nos défauts et/ou défauts. Ainsi, en plus de rendre hommage à la science-fiction (du dialogue dans Star Wars au personnage de Ferran Ranier dans Dune), il puise aussi dans notre faiblesse ce que vous avez toujours voulu savoir sur les super-héros La réponse à tout, son manteau, son costume et ses pouvoirs.
votre jeu préféré. Rempli de scènes au rythme effréné, touché par le ridicule et un sens de l’humour purifiant, rappelant l’essence des vignettes originales et Mel Brooks ou Tony Leblanc dans El astronauta (Javier Aguirre, 1970), Ruiz s’intéresse davantage à Superlópez Caldera continue Explorez relations comme un champ de bataille, au-delà de l’espace. Au fond, le grand thème du film est de savoir si Juan (le très méthodique Dani Rovira) et Luisa (Alexandra Jimenez, impressionnante) survivront, surtout lui, à leur donner et recevoir émotionnel.
C’est dans ces moments-là, pure comédie grotesque à la dynamite, qu’il n’y a rien à envier à Howard Hawks de La Fiera de mi Niña ou à son jeu préféré (référence primaire), le film pousse plus qu’à voler, cloner Ou avec heureusement le Mazinger Z conçu par Troma . Et le réalisateur semble avoir attendu sur le projet qu’un garçon célibataire amène un clone diabolique de sa possible petite amie dans la maison de ses parents. Dépasse-toi, Marvel.
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