sois protégé par tes ennemis
direction: Neil Rabout
distribuer: Samuel L. Jackson, Patrick Wilson, Kerry Washington, Justin Chambers, Jay Hernandez, Ron Glass
Titre en VO : Terrasse vue lac
Pays de citoyenneté: utiliser an: Année 2008 Date de sortie: 19 décembre 2008 point final: 103 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: David Logery, Howard Codd la photographie: Roger Stovers la musique: Jeff Dana, Michael Dana
sommaire: Les nouveaux arrivants dans la maison de rêve Chris et Lisa Matterson (Patrick Wilson et Kerry Washington) découvrent bientôt que leur nouveau voisin, Abel Turner (Samuel L Jackson), est un policier Et les pères célibataires, qui désapprouvent leurs relations interraciales, deviennent un inattendu et menace très sérieuse. Turner, qui a ramené le calme dans le quartier avec des patrouilles nocturnes, commencerait à harceler le couple.
la revue
Meilleur : Sa première heure
Le pire : L’évolution du personnage de Samuel L. Jackson
Être protégé par ses ennemis à cette époque a commencé par une idée et un pari d’un courage indiscutable : aborder le racisme dans une perspective afro-américaine, c’est-à-dire parler de la haine des Noirs et du ressentiment des Blancs, dans ce cas, l’accent est mis sur sur les couples interraciaux et le faire sans crainte ni entrave. Un drame fort et polémique peut en être extrait, surtout si la construction des personnages et de leurs motivations est crédible et solide, fidèle aux premières impressions ; malheureusement, Neil Rabout et ses scénaristes La deuxième partie du film gâche tout, ce qui semble ignore tout le conflit social et même sexuel qu’il propose au début, prenant à la place une tournure ridicule et légère, typique des films de mi-télévision – à Antena 15 heures, dans Unsoiled Faites le travail sans vos mains : La lâcheté absolue n’hésite pas d’attribuer toute colère à l’idée d’une explosion psychotique, comme si tout ce qui s’était passé auparavant n’était plus d’actualité. À la suite de cette intrigue, ainsi que de son effondrement interprétatif, « Protected by His Enemies » passe de la tension raciale convoitée de ses premiers pas au thriller traditionnel, épuisant et dégonflé de sa dernière ligne droite.
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