Silent Hill
direction: Christophe Gans
distribuer: Radha Mitchell, Sean Bean, Laurie Holden, Deborah Kara Unger, Kim Coates, Tanya Allen, Alice Creech, Jody El Ferland
Titre en VO : Silent Hill
Pays de citoyenneté: Canada, France an: année 2006 date de sortie: 28-07-2006 période: 125 le sexe: la crainte Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Roger Avery la photographie: Dan Lausterson musique: Jeff Dan
résumé: Désespérée de trouver un remède à la mystérieuse maladie de sa fille (Jodel Furlan), Rose (Radha Mitchell) décide de suivre son instinct et de déménager à Silent Hill, dont sa petite fille parle dans la petite ville de ses rêves. Un accident de voiture interrompt son arrivée sur les lieux : à son réveil, Rose constate que la jeune fille a disparu. Un policier (Laurie Holden) l’assistera dans la recherche.Date de sortie : 28 juillet 2006
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Les critiques du discours du Pléistocène sont prêts à verser leur bile dans cette réalisation de direction artistique (Bacon, Belfer, Witkin, Sherman, Dock, Herwin, Sigismundi, Jacobi, Chapman…), de conception audiovisuelle (i.e. Yamaoka…), d’atmosphère douloureuse et la manipulation sensorielle peut être trouvée dans n’importe quelle publication (ou sous-sol de réseau) qui reste une grotte de ce non-sens intellectuel déjà insurmontable appelé mesmérisme. Comme antidote à cette stupide superficialité, je recommande de lire ceux qui ne sont pas ancrés dans des coordonnées culturelles dépassées, comme Vicente Verdú ou le perspicace ludologue Gonzalo Frasca. Les deux appliquent la théorie de l’objet s aux loisirs contemporains, tandis que l’autre fournit plus une clé pour expliquer des exercices hybrides comme Silent Hill, à travers une étude narratologique de la relation entre les jeux vidéo et le cinéma, que ses milliers de commentaires offensants. Négation du canon aristotélicien. La chance des descendants des Cylons humains, encore amorphes et surdimensionnés, oui, mais bien sûr précieux ; le plus intuitif et le plus terrifiant des lointains descendants de Machen, l’aimable et illogique fils d’Argento de l’autel de style Inferno, et les génies non frères de Barkerian qui se concentrent sur le grand écran mais se concentrent plutôt sur les loisirs interactifs, nous faisons un autre petit pas vers une nouvelle immersion – une expérience de représentation, après demain, alors que le paradigme du théâtre classique a pourri, les gens sobres ne seront pas plus être appelés films. Pour les cobayes amateurs de post-cinéma. le meilleur: Conception de la production de la déjà légendaire Carol Speer. Pire: Écoutez/lisez un nombre incalculable de fois, ne dites pas que le script est défectueux.
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