Sept vies, ce chat est dangereux
direction: Barry Sonnenfeld
distribuer: Kevin Spacey, Jennifer Garner, Christopher Walken
Titre en VO : Neuf vies
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2016 date de sortie: 02-09-2016 période: 87 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Caleb Wilson, Ben Shiffrin, Gwen Lurie, Dan Anthony Achille, Matt Allen la photographie: Karl-Walter Linden Raub musique: Evgeny Galperine, Sasha Galperine
résumé: À M (Kévin Spacey) est un homme riche qui aime vivre en marge et se consacre à son travail, même si sa famille n’en est pas contente. Comme cadeau d’anniversaire pour sa fille Rebecca, Tom a acheté un chat à Grant (Christophe Walken), un type plutôt étrange. Sur le chemin du retour, Tom subit un terrible accident et tomba dans le coma… du moins son corps, car son âme serait piégée dans le chat.
critiquer
Le meilleur : Une ribambelle de bâillon provoquée par des chats.
Le pire : On lui pardonne pour qui il est vraiment, mais le pire c’est Christopher Walken.
Il y a exactement 25 ans, Barry Sonnenfeld abandonnait son illustre carrière de photographe pour se forger une nouvelle voie de réalisateur. Travail de télévision mis à part, durant ces 25 années, il a réalisé 11 longs métrages, ce qui n’est pas un nombre élevé, ni une très bonne distribution : trois films en trois ans, six ans d’absence, etc. Alors que beaucoup ne le considéreraient pas comme un cinéaste personnel, Sonnenfeld a un style et un style uniques. Par exemple, tous ses films, aussi bien les meilleurs (« La Famille Addams », 1991 ; « How to Conquer Hollywood », 1995, ou « Men in Black », 1997) que les pires (« Big Trouble », 2002, ou « What a Vacation! », 2006), ce qui est amusant.Ils pensaient tous que l’apôtre de la fantaisie et de l’imagination farce et dessin animé; comme Tim Burton (dont le diptyque de la famille Addams a un noyau Burton-esque) et Blake Edwards (les précités « How to Conquer Hollywood » et « Men in Black » ou « Wild Wild ») West », 1999). C’est dans cette dernière arène que se démarque « Seven Lives, This Cat Is Dangerous », comédie décalée (une coproduction franco-chinoise !) et familiale, dans l’action de la gamme « A Furry Candidate » (Robert Stevenson, 1976) et d’autres comme ça. irrégulière mais en pas de moment d’ennui (moins d’une heure et demie, générique compris), le film évoque farce: Une série de gags qui se sont produits lorsque Kevin Spacey s’est transformé en félin, comme sa difficulté à boire un bon verre de whisky ou sa réticence à manger de la nourriture pour chat. a un L’abîme entre la mise en scène sérieuse de ces gimmicks et toute blague de Garfield. C’est la règle de Sonnenfeld.
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