sans nom
direction: Cary Joji Fukunaga
distribuer: Hector Jimenez, Luis Fernando Peña, Diana Garcia, Tenok Huerta Meyer, Christian Ferrer, Edgar Flores, Paul Lena Gaitan
Titre en VO : sans nom
Pays de citoyenneté: Mexique, États-Unis an: 2009 date de sortie: 30-10-2009 période: 96 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Cary Joji Fukunaga la photographie: Adrien Goldman musique: Marcelo Zavo
résumé: « No Name » raconte l’histoire d’une adolescente hondurienne nommée Sierra (Paulina Gaitan) qui rêve d’un avenir meilleur. Retrouvant son père perdu depuis longtemps, Sayra a le choix : elle peut aller au Mexique avec son père et son oncle, et de là aux États-Unis, où son père a une nouvelle famille. Casper, également connu sous le nom de Willie (Edgar Flores), est un adolescent de Tapachula, au Mexique, avec un avenir incertain. Il fait partie du gang Mara Salvatrucha et vient d’accueillir un nouveau membre pour son frère El Smiley (Kristyan Ferrer), qui a 12 ans et il accepte une initiation brutale.
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Le meilleur : bonne impulsion narrative
Scénario du pire : une certaine prévisibilité dans l’action motrice
Convertie en une référence continue aux cinq dernières années de documentaires sociaux latino-américains qui en ont fait l’un de ses sujets les plus populaires, les aventures de milliers de pauvres d’Amérique centrale à la recherche d’un paradis américain est aujourd’hui l’une des fictions en chair et en os. titres de sang Un film avec ce récit. Il utilise tous les topoï habituels, qui sont bien réels : les frontières, la corruption policière, les trajets pénibles le long des voies ferrées, et comme dans tout pays occidental, le danger plane. Bien sûr, une autre question supplémentaire importante devient ici la référence centrale : les gangs criminels et leur impunité pour les gens ordinaires sans ressources.
Avec ces éléments, la Japonaise-Américaine Kari Fukunaga livre une histoire qui ne manque pas de force, voire une solide condamnation sociale, sans renoncer à une histoire d’amour un peu trop patriarcale. Mais Fukunaga ne peut nier sa main ferme lorsqu’il monte sur scène, ni l’air tragique qui annonce toujours une aventure avec une fin brutale pour le public. C’est solide et cohérent, aux allures de film d’aventure terrifiant, et interroge le monde sombre et sans espoir du gang avec un prisme presque anthropologique : rien de plus.
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