sans laisser de trace
direction: Hightor Dahlia
distribuer: Amanda Seyfried, Wes Bentley, Jennifer Carpenter, Emily Wixham
Titre en VO : disparu
an: 2012 date de sortie: 03-08-2012 période: 95 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Alison Burnet la photographie: Michel Gradi
résumé: Jill Parrish (Amanda Seyfried) rentre chez elle après une nuit de travail pour trouver sa sœur kidnappée. Jill soupçonne que le ravisseur est celui qui l’a torturée il y a des années. Personne ne croit Jill, alors elle doit se battre contre la montre pour empêcher le mystérieux tueur de mettre fin à la vie de sa sœur.
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Le meilleur : l’approche de son histoire…
Le pire : … gâché par un excès de platitudes.
Il n’y a pas de recherche à ce sujet, mais je jurerais qu’il y a une relation entre l’utilisation généralisée du Prozac et la montée du féminisme et la mutation subie par le suspense psychologique du schéma. Lampes à gaz, lampes mourantes. C’est dans les années 1960 que les récits et les films du genre établissent un schéma commun, de Crazy Pulp de Robert Bloch à Evil Delicious d’Otto Preminger. Enlèvement de Rabbit Lake.sans laisser de trace Ne buvant aucune de ces sources, mais d’une autre source plus excitante (du moins pour moi, le défenseur de la dichotomie) : Madness and Femininity de Jimmy Sangster établi à Hammers UK de la fin des années 60 à une longue pratique hystérique des années 70. Cela dégouline également de la touche finale (sans parler de tout un tas de plagiat caché) utilisée par un autre Britannique, Brian Clemens, dans l’extraordinaire série télévisée des années 70. tension. A l’inverse, jouer le scénario du film brésilien Heitor Dhalia est délicat, et les magouilles sont visibles dès le départ. Et, encore plus décevant, il est joué sans la croyance absurde que le film doit avoir. Ainsi, la paranoïa de cette fille, obsédée par le fait que quelqu’un (oui, celui qui lui a fait ça) a kidnappé sa sœur, laisse une atmosphère de succès (utilisant la forêt comme une scène de conte de fées et étant des scènes maudites) les contes de fées ont leur sens), et parfois mal à l’aise pour un public disloqué, dans un jeu incontrôlé plein de déplacements hors sujet destinés à surprendre. Ce n’est pas le cas, et vous aurez l’impression que personne ne se soucie de parier sur la folie de ce sous-genre, à part deviner ce qui va se passer, installé dans un thriller assez correct mais impersonnel mais oubliable.
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