salut argentin
direction: Steven Söderbergh
distribuer: Benicio del Toro, Demian Beacher, Santiago Cabrera, Jorge Perugoria, Edgar Ramirez, Armando Risco, Card Tarina Sandino Moreno, Unnax Ugarde, Yul Vazquez, Rodrigo Santoro
Titre en VO : argentin
Pays de citoyenneté: Espagne, France, Amérique an: Année 2008 Date de sortie: 05-09-2008 point final: 137 le sexe: Biopics, Drames Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Pierre Bookman la photographie: Peter Andrews (Steven Soderbergh) la musique: Alberto Iglesias
sommaire: Le 26 novembre 1956, Fidel Castro conduit quatre-vingts rebelles à Cuba, dont douze seulement survivent. L’un d’eux est Che, qui a rejoint le groupe en tant que médecin compagnon. Le Che se familiarise rapidement avec l’art de la guérilla et se révèle être un combattant indispensable. Il s’est consacré pleinement au conflit, avec le soutien de ses compagnons d’armes et du peuple cubain. Le film se termine au début de la nouvelle année en 1959, avec la voiture célébrant la victoire de la Révolution à Santa Clara. Les rebelles ont renversé Batista. « Che, el Argentino » suit l’ascension du Che à travers la Révolution cubaine, en commençant comme médecin, plus tard en tant que commandant rebelle, et enfin en tant que héros révolutionnaire.
la revue
Le meilleur : Soderbergh a choisi le chemin le plus sec et le plus solitaire.
Le pire de tout : pourquoi ne pas faire la première aux côtés de son film jumeau ?
Soyons réalistes et faisons l’impossible. Les paroles du Che prédisaient l’existence de cette œuvre mégalomane, désormais traversée par des exigences commerciales désagréables, que Steven Soderbergh a tiré contre la biographie du saint. Dans la première partie, Soderbergh ressemble à un Oliver Stone au sang-froid, grâce aux efforts des guérilleros menés par Fidel Castro et le Che, et à la défaite du régime de Batista. Son approche de la révolution adoucit la dimension agressive du personnage, l’humanise tout en le mystifiant, sans perdre le ton du reportage du film, s’efforçant de s’éloigner du sujet pour lui soustraire tout ce qu’il possède. image.
C’est un film difficile, et vous devez grimper sans beaucoup de poignées. On n’a l’occasion de rencontrer aucun des personnages, comme si le moindre portrait psychologique pouvait être une excuse pour justifier les mythes qu’ils suivent. Il n’y a pas de point culminant narratif, car presque tout se passe selon la structure monotone d’un journal de campagne. Soderbergh regarde son (anti)héros transformer obstinément la complaisance intemporelle d’un biopic hollywoodien en une représentation sombre, clinique et quelque peu chaotique d’un idéaliste controversé qui ne veut pas commenter ses choix politiques.
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