Rêve de Cassandre
direction: Woody Allen
distribuer: Hayley Atwell, Colin Farrell, Ewan McGregor, Tom Wilkinson, Sally Hawkins, Andrew Howard, Tamzin Othwaite, Mark Amber Sri Lanka
Titre en VO : Le rêve de Cassandre
Pays de citoyenneté: ROYAUME-UNI an: 2007 Date de sortie: 22-10-2007 point final: 108 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Woody Allen la photographie: Wilmos Zigmund la musique: Philippe Verre
sommaire: Une jeune actrice (Haley Atwell) tente de percer à Londres. Sa vie croisera celle de deux frères, Ian (Ewan McGregor) et Terry (Colin Farrell), qui avaient à l’époque des problèmes financiers. Ian tombe amoureux d’elle, mais les problèmes de jeu de Terry et l’arrivée de son oncle Howard ( Tom Wilkinson ) jettent les frères dans une spirale de crime, et finalement ils font face à un défi. Date de sortie : 26 octobre 2007.
la revue
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4. Le Palais de Jésus.
Woody Allen est devenu producteur de film noir. Et je ne parle pas de ses comédies, mais de la façon dont ses films acquièrent une nuance sombre, ce qui place certains de ses meilleurs exemples au carrefour entre le mélodrame policier, la comédie noire et la narration morale. Cela est évident dans Match Point, et il est bien représenté dans le crime et le délit. Il faut aussi placer ici Cassandra’s Dream, un exercice de minimalisme qui lie subtilement JM Cain à Shakespeare, la tragédie grecque à Hitchcock, Patricia Highsmith à Thomas Stoevsky combinés pour construire un drame moral dans lequel les références n’affectent pas l’histoire, et où les vues morales d’Allen , son dissection astucieuse de l’ambition et de la culpabilité ne l’empêchent pas de nous livrer C’est un coup de comédie humaine, pleine d’ambiguïté et de compréhension. Le réalisateur a perdu le contrôle de la fin précipitée et il a semblé échapper à une situation difficile dont la complexité le dépassait. Mais les comparaisons bidons mises à part, ce dernier opus du singulier Woody Allen Mystery Theatre, bien qu’inférieur à ses prédécesseurs, a suffisamment de mérite pour piéger le public dans son pathétique réseau de passions humaines, trop humaines. .
être opposé à.
2. Sergio Sanchez.
On voit tout à la surface : les fables de Dostoïevski, le poids de la culpabilité, le péché d’élévation sociale, le crime et le châtiment qui étouffent le commun des mortels. Mais à première vue, c’est toujours là, parce que Woody Allen ne parvient pas à introduire de l’émotion dans un conflit, et, plus d’une fois, il a étudié ce conflit (dans l’un de ses chefs-d’œuvre, Crime and Misdemeanor, and Extraordinary match point) et que , en ce moment, ne sait pas trouver son ton, oscillant entre tragédie classique et comédie noire, entre la rapidité de l’histoire et l’enlisement des personnages. Cassandra’s Dream n’a plus l’air de déjà-vu, car toutes les compositions d’Allen présentent la même pièce de chambre jouée sur différents instruments. Le problème, c’est que c’est un film ennuyeux qui n’accepte de se lever que lorsque l’oncle arrive à Londres pour que ses deux neveux passent un pacte avec le diable. La séquence Park est la seule fois où Allen semble contrôler le dilemme moral d’un film sans pénétrer le public, ignorant la torture morale fade qui détruit son personnage.
le pire: Une fin précipitée.
le meilleur:Tom Wilkinson.
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