reconstruction
direction: Juan Taratuto
distribuer: Diego Peretti, Claudia Fontaine, Alfredo Caseiro, Maria Casali, Eugenia Aguilar
Pays de citoyenneté: Argentine an: année 2013 Date de sortie: 23/01/2015 point final: 90 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Juan Taratuto la photographie: Nick Hardy
sommaire: Eduardo (Diego Peretti) est solitaire, productif et vit une vie aveugle à tout type d’émotion. Il semble avoir archivé ses sentiments dans une pièce de la maison où il habite. Son quotidien change lorsqu’il est invité à voyager quelques jours dans la ville argentine d’Ushuaia. Retrouver un vieil ami et sa famille fait renaître quelque chose de lui, lui permettant de reconstruire son passé, son présent et même son avenir.
la revue
Le meilleur : Confinement du réalisateur et du protagoniste.
Le pire de tout : ça rappelle trop d’autres films.
J’avoue qu’il n’y a pas eu d’échange comique filmé avec Juan Carlos Taratuto (scénariste et réalisateur) et Diego Peretti (acteur… ou suracteur). J’admets aussi que les longues comédies argentines psychanalytiques avec des influences évidentes de Woody Allen ont tendance à m’agacer beaucoup. Dans ces œuvres vient la « reconstruction » (le titre fait référence non seulement au processus personnel du protagoniste, mais aussi au travail cinématographique de son auteur) pour faire quelque chose de très Ellen : continuer la pièce. Drame intimiste (donc très Bergman, dans la continuité de la chaîne d’influence) sans aucune concession, très destructeur dans la forme comme dans le fond, plus encore que là où il s’en échappe, les personnages interprétés assumeront ce genre de thérapie psychologique Peretti. Peretti, ici inclus, intériorisé et intériorisé, est plus passif qu’actif… un effort considérable de la part des acteurs, bien qu’il y ait une séquence qui confond la douleur avec le studio de l’acteur. Peut-être avec une touche d’ingéniosité à la fin… eh bien, ingéniosité et un brin de déjà-vu, dans son portrait de la crise émotionnelle et personnelle des citadins du XXIe siècle, Reconstruction ne tombe pas dans la complaisance facile (Self-Taratuto et la complaisance de Pei Retti), fait bon usage des fermetures, des silences (dans les films argentins !), des paysages et des gestes. Quel est le meilleur : Cela m’a fait me réconcilier avec deux personnes que je suis (sur le film) mortelles.
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