Princesse Mononoke
direction: Miyazaki
Titre en VO : Fantôme Ji
an: 2000 point final: 136 le sexe: animation Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Miyazaki la musique: Hisaishi
sommaire: Dans un village de montagne du nord du Japon, Ashitaka, le dernier jeune guerrier du clan Emishi, est contraint de tuer un monstre pour protéger son village. Finalement, bien qu’il soit trop tard, il découvrit que la créature en forme de sanglier qu’il venait de tuer était l’un des saints patrons de la forêt. Tuer le sanglier a infligé une malédiction à Ashitaka, qui a formé une cicatrice rampante et incurvée sur son bras.
la revue
Chaque fois qu’un nouveau film d’animation arrive des États-Unis, ses intendants (Disney, DreamWorks, etc.) sont fiers de repousser les limites thématiques et esthétiques des dessins animés, et quand je découvre combien de découvertes de Miyazaki ils ont, I Hui Smile a été assimilé par des réalisateurs américains cette fois et présenté au public occidental comme sa propre création. « Princess Mononoke » n’est que la deuxième œuvre du génie japonais à sortir en Espagne, bien qu’il y a de nombreuses années, à propos de « Porcupine », j’ai déjà averti ici que l’esprit sensible et épique de Miyazaki et sa jalousie envers Ford ou Lean, et maintenant, Lors du test des mérites de son chef-d’œuvre peu attrayant, la vérité est que je ne sais même pas par où commencer. Voilà, même si chaque bande qu’il signe m’a toujours submergé de détails techniques, mentalement excitants, majestueux, d’imagination visuelle et de hauteurs poétiques (écologique sans tomber dans la bêtise et humaniste sans le moindre soupçon) Manichaeus) Avec ce dernier long métrage de sa part, ils sont sans égal, même dans la cinématographie toujours claire et progressivement écrasante de réalisateurs classiques comme Totoro ou Nausicaa. Une expérience audiovisuelle inoubliable, tout en étant une réflexion délibérée et sensée sur la tendance humaine morbide à détruire la beauté, la princesse Mononoke va au-delà de la confirmation que Hayao Miyazaki est le dieu incontesté de l’animation japonaise, ou peut-être la plus grande peinture d’action de notre temps. des artistes (comme Selick, Lasseter ou Richard Williams), devrait une fois pour toutes le compter parmi les grands cinéastes vivants. Idéal pour : Un mélange captivant de sophistication et de spectacle, un sens narratif fringant, des capacités évocatrices mythiques. Le pire : il lui faudra pas moins de trois ans pour arriver sur nos écrans.
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