Pirates des Caraïbes: La Fontaine de jouvence
direction: Rob Marshall
distribuer: Johnny Depp, Penelope Cruz, Geoffrey Rush, Ian McShane, Kevin McNally, Astrid Berges-Frisbee, Sam Kaflin, Oscar Genada
Titre en VO : Pirates des Caraïbes: La Fontaine de jouvence
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2011 date de sortie: 20-05-2011 période: 141 le sexe: aventure Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Ted ElliottTerry Rossio la photographie: Darius Volski musique: Hans Zimmer
résumé: Dans cette histoire bourrée d’action sur la vérité, la trahison, la jeunesse et la disparition, le capitaine Jack Sparrow rencontre une femme de son passé (Penelope Cruz). Il ne sait pas si c’est de l’amour ou si c’est une menteuse sans scrupules qui l’utilise pour trouver la légendaire Fontaine de Jouvence. Jack est capturé par le navire du légendaire pirate Barbe Noire (Ian McShane), le Queen Anne’s Revenge. Ils le forcent à les rejoindre, et il va vivre une aventure inattendue, et il ne sait pas qui lui a inspiré le plus de peurs : Barbe Noire ou la femme de son passé.
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Le meilleur : Des explosions de folie fantastiques.
Pire encore : Depp se méfie de plus en plus de son personnage.
Dans la littérature nord-américaine de Tim Powers, le fantastique est toujours la note de bas de page qui se faufile dans les failles de l’histoire, expliquant enfin tout, et enfin déchiffrant la structure profonde de la réalité. Entre ses mains, le christianisme et l’islam se sont affrontés pour la conquête du stout, Lord Byron et Percy B. Shelley ont alterné avec les lamias, et la terreur lovecraftienne a imprégné la guerre froide. Dans Strange Shores, publié en 1987, il s’exerce tout particulièrement à l’imaginaire de la fiction pirate : dans celui-ci, Barbe Noire s’attache à retrouver l’éternelle fontaine de jouvence entre duels magiques, rituels vaudous, mutation végétale et morts-vivants.
Parmi les lecteurs de Bowers, certains ne croient pas que la série Pirates des Caraïbes utilise « Stranger Shores » comme référence lointaine. Ce quatrième volet (qui est en grande partie un changement du troisième et une refondation de la saga, incluant un changement de présence secondaire et un changement de réalisateur) rend clairement hommage dans son titre (le scénario n’a pas adapté le roman, mais le roman impliquant cela) ressemble plus à un pacte juridique couvrant le brun qu’à un acte poétique de justice.
Dans la trilogie de Gore Verbinski, une partie de l’imagerie puissante de « Stranger Shores » a été exploitée (le réalisateur est plus poétique et plus soucieux des textures plastiques que son successeur), de sorte que la littérature de cette œuvre Inspiration la quitte à peine en supposant une extension considérable de la saga, sans autre ambition que d’établir une continuité raisonnable.
La logique libre de la série de films est une fois de plus remplacée par la logique mécanique des jeux vidéo, mais l’ostentation de la machine laisse quelques images durables : Barbe Noire suspendant son équipage avec ses pouvoirs surnaturels, des bateaux embouteillés suspendus à des étagères, En plus de cela, ces sirènes qui manient les algues comme des fouets offrent de merveilleux moments d’aventure qui ne s’écartent pas de ce que suggère sa base d’inspiration – une attraction de parc à thème (éminente) – et elle ne succombe vraiment pas à son pouvoir intermittent de libération frénétique. Si Rob Marshall s’intéresse plus aux larmes de sirène enchaînées qu’aux citrouilles Sparrow/Depp et Angelica/Cruz, Pirates des Caraïbes 4 passera d’un spectacle généreux et satisfaisant à Plus.
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