Phénix 11*23
direction: Joël Jean, Sergi Lara
distribuer: Anna Wagner, Roberto Alamo, Neil Cardona, Alex Casanovas, Luiz Villanueva
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2012 date de sortie: 09-11-2012 période: 96 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Albert Project Soriano, Hector Hernandez Vicens la photographie: Beth Ruridge musique: Roger Julia
résumé: Quand Èric (Nil Cardoner) a envoyé un e-mail à certains supermarchés leur demandant d’étiqueter leurs produits en catalan, la Garde nationale a pris d’assaut sa maison, l’accusant de terrorisme informatique.
critiquer
Le meilleur : Pulse et cast.
Le pire : ça manque de chaleur et peut-être un brin de manichéisme, aussi moche que ça puisse paraître.
Il y a environ 10 ans, Joel Joan, l’une des personnes les plus talentueuses et énergiques de notre industrie du divertissement, a fait ses débuts au cinéma avec Excusas !, co-réalisé par Jordi Sánchez. Un film qui nous montre la grande Clara Segura, pleine de mauvais lait, d’humour aigre et d’éclat formel (rappelez-vous la scène d’ouverture du film, par exemple). Comédie… désagréable. Le retour de Joan coïncide avec les élections catalanes, qui sont bonnes pour son box-office, et nous en sommes tous heureux, mais concentrons-nous sur le côté officiel du titre, qui est un peu pour et un peu contre. Dans le premier lot, Prenant un sujet controversé, typique d’un film de dénonciation classique, les deux réalisateurs nous disent que, malgré des moyens erratiques, il est précis, élégant et dépouillé de superflu, sans scènes ni personnages superflus. Droit au but. Mais hélas, alors que son auteur a été accusé d’être partisan, il y a plus d’émotion qui manque à l’ensemble (le sujet lui-même, non ?). Une scène intense, furieuse comme l’interrogatoire de la toujours excellente Anna Wagner est incomparable dans le décor du petit mais combatif Eric (Neil Cardona). raison possible? Le film semble avoir été tourné et planifié par Aki Kaurismäki, ou cinéaste scandinave.
Ce choix esthétique froid et sans fioritures compterait aussi comme un exploit, sinon car, comme nous l’avons dit, il semble entacher le récit et lui couper émotionnellement les ailes. Joel Joan et Sergi Lara n’ont pas la touche de Ken Loach. Au final, le choix des acteurs, bien mis en scène, est une autre réussite d’un long métrage à voir sans préjugés, et il offre bien plus que ce à quoi on pourrait s’attendre, suggérant que Joan, seule ou avec d’autres, pointe et montre étiquette. Allons-nous au troisième ?
Ce contenu est créé et maintenu par des tiers et importé dans cette page pour aider les utilisateurs à fournir leurs adresses e-mail.Vous pouvez trouver plus d’informations à ce sujet et sur du contenu similaire sur piano.io