Petits mensonges qui n’ont pas d’importance
direction: Guillaume Cannet
distribuer: François Cruze, Marion Cotillard, Benoît Maguimel, Gilles LeRouche, Jean Dujardin, Valérie Bonneton, Laurent Raffi T, Pascal Abilo
Titre en VO : Les petits mouchoirs
Pays de citoyenneté: La France an: 2010 Date de sortie: 27-05-2011 point final: 154 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Guillaume Cannet la photographie: Christophe Offenstein
sommaire: Un groupe d’amis a l’habitude de se réunir pour les vacances d’été. Cette année, ils ont décidé de ne pas rompre avec cette tradition, même si l’un d’eux a été victime d’un accident à Paris quelques jours avant de partir. Déjà à la plage, leurs contradictions font surface et leur amitié est mise à l’épreuve. Ensemble, ils seront forcés d’endurer les petits mensonges sans importance qu’ils racontent chaque jour.
la revue
Le meilleur : Une séquence d’intro bénigne qui déclenche le reste.
Pire : Les choix musicaux du film sont épuisants et larmoyants.
Oui, Désirée de Fès
Les amis de « Little Little Lies », un groupe de bourgeois français dans la quarantaine, préfèrent laisser leur ami seul à l’hôpital plutôt que de sacrifier des vacances à la plage. La décision initiale est comme une déclaration de principe : quelle que soit la qualité de l’expérience d’un personnage sur le moment, des aspects de deuil, d’égoïsme, de culpabilité et de douleur vont l’accompagner et le faire évoluer ou accepter sa trivialité… dans ce cas, le film Se déplacer entre un hymne à l’amitié et une carte de la souffrance humaine, trouvant le parfait équilibre entre les deux variables à travers une intersection sensée des genres. Utilisant un plan similaire à Reunion (Laurence Kasdan, 1983) ou Peter’s Friends (Kenneth Branagh, 1992), le film saute naturellement du drame douloureux à la comédie excentrique, et souligne à quel point la vie peut être capricieuse. Il a des nuances morales, une sélection de chansons moins réussies et une fin glorieuse (comme le discours sublime de Marion Cotillard), mais c’est larmoyant. Mais dans un film écrit avec clarté et émotion, ce sont des maux secondaires, et il y a quelque chose de moins commun que d’habitude : les personnages. Les amis de « Little Little Lies » ressemblent à une personne et à personne, ils évoquent la reconnaissance, et en même temps ils sont uniques.
Contre, de Jordi Costa
Ce diagnostic hypothétique de narcissisme et de nombreuses formes d’immaturité commence par une démonstration de puissance ambitieuse : un de ces exercices formels en cours qui étonne les téléspectateurs qui ne pourront s’empêcher de se demander comment les nombres magiques du magicien sont devenus le diable a été exécuté. . Malheureusement, après cela, la seule chose ambitieuse est la générosité téméraire de la caméra. Parfois, pour juger un film, il suffit de plaire à tous les publics. Dans ce cas, la qualité de rire recueillie dans cette enquête de terrain est la pire opinion : rire petit-bourgeois, sec de toute joie et allégresse, condescendant et simple formalité. Dernier rire, parlant de l’échec de la dissection critique du groupe, pris en sandwich entre le souvenir de « The Reunion » et « Peter’s Friend », il obtiendra enfin une tournure décidément moralement sauvage de la part des gentils. Le résultat est un de ces films où il est difficile de déterminer quel élément l’emporte : le froncement de sourcils de Marion Cotillard forçant son record d’intensité ou la chanson mortelle et inévitable d’Anthony et Johnson.
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