orphelinat
direction: Jean Antoine Bayonne
distribuer: Belen Rueda, Fernando Cayo, Geraldine Chaplin, Montserrat Carula, Mabel Rivera, Andres Gertrudes, Roger · Princep
Titre en VO : orphelinat
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2007 date de sortie: 08-10-2007 période: 100 le sexe: la crainte Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Sergio Sánchez la photographie: Oscar Farra musique: Fernando Vélasquez
résumé: Trente ans après y avoir passé quelques-unes des meilleures années de son enfance, Laura (Beren Rueda) retrouve son mari Carlos (Fernando Cayo) et leur fils de 7 ans, Simon (Roger R. Prince), à l’orphelinat où elle a grandi. Il veut convertir le bâtiment en foyer pour enfants handicapés ; mais lorsque son fils se met à raconter des histoires loin d’être naïves sur les mystères qui entourent l’ancien orphelinat, le cauchemar de Laura commence…
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Sommes-nous d’accord pour dire que le celluloïd espagnol, bien que jamais gravement malade, a toujours souffert de fièvre légère, d’anémie et d’hypermétropie (il faut s’éloigner un peu pour apprécier ses défauts) ? Eh bien, dans les rares occasions comme celles-ci, je suis si clairement certain qu’un film marque une voie possible vers le mariage artisanal-créatif-industriel nécessaire à toute cinématographie. Un travail qui aspire à être un moteur de production grand public à la fois précieux et économiquement sain. El Orfanato est considéré comme une mosaïque de référence discrète et sournoise qui, à travers la pseudo-parodie hollywoodienne, plaît à presque tous les groupes publics, si ce n’est pour : 1) un gaspillage drastique à croire que le débutant Bayonne a fait pour son matériel théâtral des contributions ; 2) Un peu de flair de scène et/ou flashs audacieux du concept (la mâchoire tombait, les joues de l’héroïne se couvraient d’une poussière pâle, un travelling rond obstiné, toute intensité brisait les clichés.. ….), plus hallucinant que le produit – recherche surréaliste et clonage de leurs aînés; 3) le public est manipulé par les émotions tyranniques de son protagoniste, à savoir Belém Rueda avec ses organes internes en l’air, qui a constitué la récente L’une des performances les plus bouleversantes hormonalement du film.
Pour presque tous ceux qui aiment les autres.
le meilleur: L’expertise de son directeur et de l’immense Belem Rueda.
le pire: Son développement n’est pas tout à fait original.
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