Nous avons parlé avec Christian Clavier de « Mon Dieu, qu’est-ce qu’on t’a fait… maintenant? »
« Dans cette suite, mon personnage Claude a embrassé son gendre, pas aussi intransigeant que le premier film, mais c’est quand même un dur à cuire qui parle sans filtre. Pourtant, c’est parfois facile d’être en désaccord. Il résonne car même si on n’aime pas ça, qui ne serait pas surpris par une réaction similaire envers lui ?expliquer l’acteur Christian Clavier (Paris, 1952), sur « Mon Dieu, mais qu’est-ce qu’on t’a fait… maintenant ? », « Mon Dieu, mais qu’est-ce qu’on t’a fait ? » Partie II (Philip de Shaw Furlong, 2014).
Des blockbusters comme « Mon Dieu, mais qu’est-ce qu’on t’a fait ? » semblent avoir une suite tôt ou tard, qui a rapporté 158 millions d’euros dans le monde – 104 € rien qu’en France et 104 € en Espagne. C’est presque 9 $. « J’ai eu le plaisir de le filmer, mais il fallait trouver une histoire intéressante et intelligente car malheureusement beaucoup de comédies ne le sont pas »confirmez le Clavier sans entonnoir. « Dans le cas des deux films, le réalisateur et scénariste Philippe de Chauvron s’est inspiré de sa propre vie, car son mariage était biracial et il avait biracial. Quelque chose de très français, mais aussi de très courant, et avec un sens de l’humour, ça s’applique. » dans de nombreux endroits, notamment dans les pays méditerranéens ».
humour de guérison
Si le point de départ de la comédie est un mariage rustique, catholique et bourgeois, ils n’ont d’autre choix que d’accepter que leur fille soit mariée à un Juif, un Africain, un Chinois et un Arabe, en l’occurrence Lauder et Marie (Chantal Lauby) élaborent un plan pour empêcher tous leurs descendants de partir à l’étranger à la recherche de meilleures opportunités. « J’ai toujours été intéressé par les relations sociales, ce qu’était et ce qu’est la France, mais on parle d’un film, d’un divertissement, ça ne reflète vraiment rien, même si c’est un peu une coïncidence avec ce qu’on fait. . La vie en 2019″, facture. Ce que l’acteur sait, c’est la fonction thérapeutique de l’humour. « Dans ce contexte, je le vois comme un outil contre les préjugés racistes car il célèbre les mariages mixtes et est un antidote à un moment tragique de la vie. »
C’est pourquoi Clavier, connu comme conservateur (il a soutenu Nicolas Sarkozy dans sa campagne présidentielle), s’est montré très critique à l’égard de ceux qui prétendent que le film se complaît dans les blagues racistes et les interrogations sur l’identité française. « Faire de la comédie se complique de jour en jour car c’est justement basé sur le mépris et le ridicule des clichés si ancrés dans le cinéma français, mais certains ne le comprennent pas. Je ne m’intéresse pas aux gens politiquement corrects car ils essaient de Te faire décider ce qui est tolérable et ce qui ne l’est pas. Je ne veux pas être dans ce débat.
vive la comédie
À quelques exceptions près, la carrière de Clavier a été liée à la comédie. Bien que diplômé de la prestigieuse Sciences Po, il intègre très tôt la troupe du café-théâtre Le Splendid, une trilogie d’acteurs et d’écrivains qui s’est fait connaître dans les années 1970 avec son premier titre « Les bronzés » (Patrice Leconte, 1978-2006). Vinrent ensuite la saga « Le Visiteur » (Jean-Marie Poiré, 1993-2016), dont Clavier fut co-auteur, ou la saga « Astérix et Obélix », qui en fit l’un des visages les plus reconnaissables. Comédie française. « J’aime la comédie et je suis heureux de faire ce genre de films. Je pense que je suis privilégié parce que je fais ce que je veux faire et je suis là où je veux être. Je suis très clair que je ne peux pas faire un film qui ne laisse pas le public un film heureux, le pire c’est l’ennui. »A assuré sans détour un interprète qu’il est connu pour son sérieux en tant que bon humoriste.
Cependant, après tant d’années à faire rire les gens, il n’a pas trouvé le secret pour y arriver. « Il n’y a pas de formule infaillible, on ne sait jamais ce qui va marcher, mais la comédie est bonne et mauvaise, et le public est intelligent »Il ne sait pas non plus pourquoi le public et certains réalisateurs qui travaillent avec lui le considèrent comme l’héritier du mythique Louis de Funès (« Comme lui, il aime jouer des personnages aux terribles défauts », dit mon Dieu directeur Chauvron, mais qu’est-ce qu’on t’a fait ? ), mais il n’a aucun doute sur ce qu’un bon comédien devrait avoir : « D’abord, l’honnêteté. »
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