mule
Warner Bros.
direction: Clint Eastwood
distribuer: Clint Eastwood, Bradley Cooper, Michael Pena, Tessa Farmiga, Laurence Fishburne, Ignacio Sericchio, Alison Eastwood
Titre en VO : mule
Pays de citoyenneté: Amérique an: 2018 Date de sortie: 08-03-2019 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Nick Schenk la musique: Arturo Sandoval la photographie: Yves Bélanger
sommaire: Earl Stone (Eastwood), un octogénaire solitaire et sans le sou dont l’entreprise fait face à une saisie, obtient un travail apparemment simple : tout ce qu’il a à faire est de conduire. À l’insu d’Earl, il devient trafiquant de drogue dans un cartel mexicain et se retrouve sous l’œil vigilant de l’agent de la DEA Colin Bates (Cooper).
Meilleur : acteur d’Eastwood. Cette scène avec Dianne Wiest était du pur miel, de l’émotion pure.
Le pire de tout : la partie de l’enquête policière est boiteuse.
Dix ans après sa dernière réalisation (Grand Turin), le retour de Clint Eastwood témoigne peut-être de lui en tant qu’acteur. En cours de route, le réalisateur a animé sept autres films, plus quelques travaux à la demande des autres (Robert Lorenz dans Golpe de effect). C’est une belle et paisible pseudo-suite spirituelle de ce film sur l’ancien ouvrier de Ford de mauvaise humeur, inspiré par l’histoire vraie de Leo Sharp, qui est passé de la culture de roses pour George Bush père à la mule de Bush père. Cartel de Sinaloa.
Regret, solitude et rédemption, les trois éléments essentiels du film du réalisateur ‘No Forgiveness’, toujours dans l’histoire d’Earl Stone, qui a tout perdu et a succombé à l’argent facile. Un vieil homme qui sait gagner tout le monde dans sa vie sauf lui-même, qui entend assumer la responsabilité de son propre passé dans cette fuite innocente.
Comme Walter Kowalski du Grand Turin, Stone reste une projection des idéaux et des personnages qu’Eastwood a incarnés tout au long de sa carrière. alors, Sous couvert d’un thriller dramatique tranquille, j’en profite pour me mettre devant le miroir et ne pas être une garce: Au fond, ce nympho et amoureux des fleurs est ce qu’il est quand il s’agit de sa passion pour son métier. Avec ce classicisme formel peu attirant, cette austérité, et non la pauvreté, le formalisme, le jeu de miroirs qu’il propose donne encore plus de force au caractère humaniste de la proposition, franchit les frontières du politiquement correct, et a un pouvoir unique de raconter une histoire quand elle vient. Dans Qu’est-ce que la philosophie ? , Gilles Deleuze et Félix Guattari affirment que parfois la vieillesse confère non pas la jeunesse éternelle mais la liberté souveraine. Cette liberté a permis à Eastwood de sortir deux films en moins de 12 mois. En réalité, Le dernier plan résume tout : même dans les situations les plus extrêmes, il y a un soupçon de liberté.
Simple et profond, « Mulla » n’est pas seulement une relique d’une salle de cinéma en voie de disparition, mais une déclaration politique très subtile sur le vent nouveau qui souffle sur son Amérique bien-aimée, mais aussi une nouvelle, et espérons-le pas son écurie La dernière lacune du film travailler.
Ce contenu est créé et maintenu par des tiers et importé dans cette page pour aider les utilisateurs à fournir leurs adresses e-mail.Vous pouvez trouver plus d’informations à ce sujet et sur du contenu similaire sur piano.io