mon nom est Khan
direction: Karan Johar
distribuer: Shahrukh Khan, Kajor, Katie Keane, Jimmy Shergil
Titre en VO : mon nom est Khan
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2010 date de sortie: 28-05-2010 période: 160 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Shibani Bhatia la photographie: Ravi K. Chandran
résumé: Khan (Shah Rukh Khan), un jeune musulman atteint du syndrome d’Asperger, arrive à San Francisco et tombe éperdument amoureux de Mandila (Kajor). Ils vécurent heureux jusqu’à ce que le monde change avec les attentats du 11 septembre 2001.
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Le meilleur : sa première demi-heure.
Pire encore : ça a changé dans le (mauvais) mélodrame déchirant.
India’s Elephant, l’industrie cinématographique pittoresque et folklorique, Bollywood, a décidé de devenir « sérieuse » et idéologiquement combative dans son premier produit (si je me souviens bien, définitivement oui), conçu spécifiquement pour le marché international occidental (lire Hollywood), il fait beaucoup de sens. S’il y a quelque chose de caractéristique du boom des exportations de films indiens, c’est sa musique colorée et distinctive, une étiquette par excellence qui représente finalement une culture contradictoire, même socialement et politiquement. Je m’appelle Khan, pas de danses ni de chansons (ce sont les parties oniriques de l’action), mais pas de très longs plans, inutiles dans ce cas. Pendant près de trois heures, l’atroce protagoniste parcourt l’Amérique post-11 septembre, répétant sans cesse que les musulmans ne sont pas des terroristes, et essayant de convaincre le président des États-Unis de lui faire un câlin Teletubbies en personne. A priori, ce message contre la xénophobie, l’intolérance et les préjugés (à propos des films Bollywood brillants et kitsch ?) est très bon, mais ce film, au lieu de freiner et de capitaliser sur l’empathie et la sentimentalité (par exemple, le visiteur ou désolé, les haineux), souffre des vices des pires films américains et occidentaux. Ainsi, l’air prétendument combatif se dilue dans l’éloge du sage fou, la majesté diminuée, et le bon Michael Langdon devient l’élixir du bonheur. Pas seulement un Forrest Gump (son modèle apparent), ce khan est un I Am Sam quand vous voulez être George Bush Jr. et essayez de prêcher en gémissant face à l’Alliance des civilisations pour prévenir les châtiments sexuels.
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