moins mal
direction: Antonio Hernández
distribuer: Carmen Mora, Roberto Alvarez, Veronica Echegui, Marta Bérenger
Titre en VO : le moindre mal
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2007 Date de sortie: 14-03-2008 point final: 110 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Antonio Galeano, Antonio Hernández la photographie: Javier G Saumons la musique: Paul Martin
sommaire: Eduardo (Roberto Alvarez) est un homme d’âge moyen, marié et père de famille, dévoué à la politique et vivant à Madrid. Sa sœur Julia (Carmen Mora) attend sa visite. Elle vit toujours dans la vieille maison en Galice. Mais l’arrivée d’Eduardo ne s’arrêtera pas à la réunion des frères. Pourquoi : Vanessa (Veronica Echegui), la jeune amante du politicien, a été jusqu’à présent une amante cachée. Date de sortie : 14 mars 2008.
la revue
J’ai presque tout aimé dans ce film, avec une approche modeste de la production, mais avec un talent narratif extraordinaire. C’est une saine ambition de condamner les pratiques les plus meurtrières de certains politiciens (plutôt ?) immoraux, l’un des méchants les plus puissants du cinéma espagnol, Roberto Álvarez) a mis son masque de bonhomme et ses gestes et comportements dangereux. Il y a aussi un personnage comique soi-disant naïf qui s’avère plus intelligent que prévu, et la toujours excellente Carmen Mora sait lui donner toute la cohérence dont elle a besoin tout en introduisant un ton humoristique dans le thriller. Álvarez a bu du vent pour les filles de dernière minute, et non sans raison, confirmant une qualité qui brille déjà dans les débuts de Verónica Echegui chez Bigas Luna.
Il y a une gouvernante stricte, fidèle esclave des machines et le gouverneur autonome, qui observe, obéit et exécute de la manière propre véhiculée par Marta Belenguer, et toute la sagesse du monde peut gouverner un L’espace séparé dans lequel ce la comédie perverse est jouée confirme ce que l’on sait: Antonio Hernandez est l’un des réalisateurs les plus sûrs, les plus brillants et les plus originaux du panorama actuel du cinéma espagnol.
Pour les fans de différentes comédies et thrillers étranges.
le meilleur: Roberto Álvarez, excellent accompagnement.
le pire: Sa distinction n’est pas comprise.
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