Mlle C
direction: Constant Fabien
distribuer: Karin Lawfield, Marion Cotillard, James Franco, Kirsten Dunst, Tom Ford, Karl Lagerfeld
Titre en VO : Mlle C
Pays de citoyenneté: France an: 2013 date de sortie: 19/06/2014 période: 90 le sexe: Documentaire Couleur ou noir et blanc: Couleur la photographie: Rafael Lasky, Matt Elkind
résumé: Après dix ans à la tête de Vogue Paris, la rédactrice en chef Carine Roitfeld a décidé de révolutionner le monde de la mode avec son nouveau magazine CR.
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Le meilleur : comment ça justifie le recours au softcore artistique.
Le pire : c’est moins ambitieux en termes de montage et de scénarisation.
Confronter/décrire le sexe intérieur de deux icônes dans le monde des magazines imprimés comme Playboy et Penthouse sans (dual) documentaires (ne vous inquiétez pas : j’ai fini par le faire parce que je suis tous les deux abonnés d’honneur), accueillez et complétez le duel programme qui forme le numéro de septembre nord-américain et cette « Miss C » française. La patronne spéciale du Vogue américain, protagoniste du premier documentaire, a montré son visage hautain et maussade pour le second, dans lequel la fugitive du Vogue français Carine Roitfeld était la vedette. De cette façon, une continuité a non seulement surgi (de l’effort tyrannique pour proposer un nouveau titre CR du numéro de septembre de Yankee), mais aussi un fantasme de cinéphile sous la forme d’une fausse suite. Le diable s’habille en Prada. Il n’est pas difficile d’imaginer une certaine forme de fatigue face au style visuel et narratif erratique de Miss C, le personnage qu’Anne Hathaway a fait à tout prix pour réaliser un magazine humain, distinctif et novateur.tout le contraire de ceux qui s’enfuient C’est bien de cela qu’il s’agit dans « Mademoiselle C »: les origines de l’anti-mode et la recherche de nouvelles voix dans certaines formules dans l’univers de la mode et/ou des magazines de mode. Alors que « September » est une quasi-horreur ou une approximation wellésienne très intéressante (« Mr. Arcadine » est mélangé avec « The Trial »), sa réflexion française est comme un clin d’œil à n’importe quel biopic Metro Une ode au soi (wo) artificiel capitaliste dans Goldwyn Mayer des années 1940. Complaisance, préjugés, idéalisme, menteur ? Ce portrait de cour des rêves de Carine Roitfeld et de ses rêves trouve un sens dans sa découverte de la mode érotique… A propos de sa découverte du softcore bourgeois gaulois… c’est le documentaire : Just Jaeckin of Fashion.
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