mère chérie
direction: Pilar Tavola
distribuer: Gala Evora, Ramon Rivero, José Burgos, Gloria de Jesus
Titre en VO : mère chérie
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2009 date de sortie: 07-05-2010 période: 103 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Santiago Escalante la photographie: Mark Cooksutter musique: José Miguel Évora
résumé: Alfredito avait cinquante-six ans. Il est né gay en plein franquisme, quand les gays étaient les « gays » de tout le monde. À travers des anecdotes, de l’humour, des sentiments, des déceptions et de la douleur, la vie d’Alfredito nous entraîne dans un monde qui devrait nous permettre de réfléchir et de mieux comprendre ceux qui nous entourent, peu importe leur couleur de peau, leur race, leur religion ou leur orientation sexuelle.
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Le plus : le courage du réalisateur.
Le pire : le ton était un peu exagéré.
Depuis 1984, avec Berceuse d’épinesjusqu’à aujourd’hui, avec la première mère chérie, la réalisatrice Pilar Tavola n’a signé que trois longs métrages. Ajoutons donc cette version de Yema et Erin Pappas, nous avons un court métrage d’une réalisatrice qui se consacre corps et âme au documentaire jusqu’à ce qu’elle revienne au roman, racontant Une histoire d’Andalousie, l’une des les points d’intérêt les plus importants pour Távora, la ramène à sa propre enfance, quand elle a commencé à vouloir parler de poules mouillées urbaines qui n’avaient rien à voir avec les gays urbains, leur La trajectoire est très différente, et logiquement elle doit être calculée d’une manière très différente.
Ce sont 60 ans d’histoire espagnole, 60 ans caractérisés par l’intransigeance et la violence, le manque de respect et l’injustice, le manque de grande vision. Le protagoniste Alfredito raconte ses expériences, mais cela peut être extrapolé à de nombreuses personnes dans d’autres pays et à d’autres époques.
Tavola est toujours intéressé à mélanger des visages bien connus avec ses propres paris pour mettre à jour le système stellaire de notre pays, ce qui est déjà pratique. Avec ses défauts et quelques reproches, chère maman, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un exercice de mémoire historique, encadré par un sens sensible, calme et très maîtrisé du mélodrame. Un film nécessaire, une histoire universelle dans une singularité, un échantillon de film politique qui ne veut pas être politisé.
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