lumière du dimanche
adresse: José Luis García
distribuer: Alfredo Landa Paula Echevarría Álex González Kiti Manver Manuel Galiana Manuel Galiana Carlos Larrañaga Enrique Villén Francisco Algora Fernando Guillén Cuervo
Titre en VO : lumière du dimanche
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2007 date de sortie: 12 novembre 2007 période: 174 le genre: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: José Luis Gassi, Horacio Valcassel la photographie: Félix Monty musique: Paul Cervantès
sommaire: Asturies, début du XXe siècle. Le nouveau secrétaire de la petite mairie (Álex González) affronte le maire autoritaire (Carlos Larrañaga) tout en tombant amoureux de la plus belle fille de la ville (Paula Echevarría). Date de sortie : 16 novembre 2007.
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Une scène de violence, modérément filmée à distance, avec plus de chuchotements que de cris, coupe en deux le nouveau film de José Luis Gassi : On passe du royaume des berceuses aux thèmes et styles de personnages ressemblant à ceux de The Cradle of Bad Vibe : Michael Haneke. En d’autres termes, à partir de maintenant, dites bonjour aux oiseaux et dites au revoir à eux et à leurs tweets constants et ennuyeux. Pajarracos est incarné par Carlos Larrañaga, ses trois descendants et le sublime Enrique Villén, dont les actions poussent l’intrigue dans des directions inattendues. Ce n’est pas un récent conte de vengeance de style film de Neil Jordan et Jodie Foster, mais cela pourrait être la revanche du réalisateur sur ceux qui pensent qu’il est stagnant, enfermé dans ses vieux livres et isolé dans des séquences sans fin dans la portée And Off Orbit: No , Crack Garci vit, et comment ça vit, oublions certains titres, du moins pour le serveur, incompréhensible, martien.
Dans un casting digne d’un film de Robert Altman, de par sa qualité et sa quantité, le personnage d’Álex González (comme la fille de « Grand-père » ou Carlos Ippolito de Ninette) est aussi pur et innocent) partit à sa recherche dans les vertes prairies parmi les grands immeubles sans même douter du 11 septembre à New York, peut-être pour transmettre un thème non résolu : le mal. Ce n’est pas un lifting complet, mais un nouveau départ à partir de l’expérience, des vertus et des vices.
Pour les amateurs de mélodrame, il y aura bien sûr des surprises et des changements.
le meilleur: le pouls de Garci et le sang-froid d’Álex González.
le pire: Quelques dialogues… et monologues.
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