l’or à Moscou
direction: Jésus Bonille
distribuer: Jesus Bonilla, Santiago Segura, Alfredo Landa, Concha Velasco, Gabino Diego, Antonio Resines, Nieus Asensi, Juan Luis Gallardo, Chiquito de la Calzada, Jose Luis Lopez Vazquez, Maria Barranco, Antonio Gameiro, Bebe Rebo Ledo
Titre en VO : l’or à Moscou
Pays de citoyenneté: Espagne an: année 2002 Date de sortie: 28-03-2003 point final: 107 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Jesus Bonilla, Joaquín Andujar la photographie: Javier G Saumons la musique: Manuel Villarta
sommaire: Deux amis (Santiago Segura et Jesus Bonilla), fatigués de leur destin, voient l’avenir lorsqu’un vieil homme mourant leur dit qu’il sait où se trouve la solution à l’or républicain mythique qui n’a jamais atteint Moscou. Ils essaient de le traquer par tous les moyens possibles, et dans leurs aventures pathétiques et gourmandes, ils devront se tourner vers d’autres aussi obsédés par le butin qu’eux.
la revue
Après les torrents, « The Biggest Heist Ever » et « The Great Adventure of Mortadello and Philemont », force est de constater qu’il manque quelque chose à une autre macro-comédie rave et chaotique de la péninsule « Moscow Nights » : un metteur en scène Un orchestre capable d’étalonner les rythmes et d’enlever l’indécence . Le camée de Flo, certains diraient qu’il vient de Vous ne voulez pas de cinquième voisin, n’est pas beau, et le bâillon de Pajares qui suce le mamelon d’une infirmière est un exemple du syndrome des odeurs obsolètes que nous pensions mort. Bonilla n’a pas la fraîcheur du Segura, du Monzón et du Fesser, sans parler de la netteté du Berlanga, autre référence incontournable des ragoûts dans ce pays. Le film, cependant, n’est pas offensant : certains dialogues sont inspirants et hilarants, et la plupart des acteurs suivent les étapes, surtout les femmes : Velasco ou le très lunatique Barranco (mannequin Magnani) Ba Ranco et Asensi. Mais ses décors sont aussi grotesques que les voyous de « Three Puppets », artistes invités, soit dit en passant, dans les miroirs de l’intrigue de « The World’s Crazy, Crazy, Crazy », « Moscow’s Gold ». Pour le fan moins exigeant de la comédie ibérique. Le meilleur : La puissance de Velasco. Le pire : son éléphantiasis incontrôlé.
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