« Little Women »: le meilleur et le pire de chaque sortie
Jo: Saoirse Ronan / Amy:Florence Pugh / méga: Emma Watson / Béth: Eliza Scullen / Laura: Timothée Chalamet / Professeur Barr: Louis Garrel / Mère: Laura Dern / tante mars: Meryl Streep.
le meilleur: Gerwing a rattrapé le film de Cukor suivre mon propre chemin. Son scénario raconte le plus d’événements de l’histoire et donne à chaque personnage plus et mieux d’espace (seulement 20 minutes de plus).oser à travers la narration Retour en arrièreoui, Plutôt que de procéder de manière linéaire, il parvient à animer l’histoire habituelle sans gâcher l’émotion de l’événement. « Little Women » est plus que jamais une histoire de sororité, mais les conversations et les réflexions féministes parviennent toujours à s’additionner, qu’il s’agisse d’émotion ou d’humour, pas seulement de quelques mots. Le respect et l’amour pour les romans, les personnages et les matériaux peuvent être vus dans chaque scène, personnage et phrase. Mais tout cela vient avec la capacité de mettre l’accent émotionnel sur le bon point d’intérêt, juste derrière Cukor.
Ronan incarne Joe de manière passionnante, rapide, libre et expressif. Bien qu’elle n’ait pas le côté dur ou humoristique de Hepburn, son Joe March est contagieux, empathique, presque héroïque. Florence Poug Elle a plus de temps et de billets que n’importe quelle autre Amy, et elle ne les gaspille pas. L’actrice de « A Midsummer Nightmare » a réussi à rire de la moue initiale de son personnage avant de nous surprendre avec l’Amy la plus dure, la plus mature et la plus intelligente à ce jour.De son côté, Chalamet est devenu Laurie, la plus polyédrique, est aussi la seuleJusqu’à présent, il a su incarner les côtés sombres et clairs du personnage. Alors que Cukor enseigne à chacun où quitter l’histoire (une invitation à entrer dans la maison), Gerwing parvient à aller jusqu’au bout, transformant sa séquence finale en une division entre fiction et réalité pleine de défense et de pouvoir, tournant l’histoire de March emmène la romance plus loin .
Pire: Emma Watson C’était trop révélateur devant des acteurs dont le niveau d’expression émotionnelle était inégalé à tout moment. Sa Meg, personnage qui a perdu son charme, est représentée avec un perpétuel demi-sourire, et on ne sait pas où il est allé. De plus, son visage et son physique enfantins font qu’il est difficile de la voir comme l’aînée (et mère de deux jumeaux) devant ses pairs. Le personnage du professeur Bhaer est pour Jo un amour à part entière et un prétendant intellectuel.Ainsi, toute existence Symboles sexuels comme Louis Garrel Sur le papier, ça n’arrête pas bizarre que son âge, 36 ans, soit une chose rare si ceux-ci sont bien gérés. À eux seuls, Streep, Dunn et Scanlon n’ont pas déçu si nous en demandions plus, mais ils ne se sont pas non plus démarqués comme des points positifs pour un film qui, au départ, auraient pu apporter plus de contributions. La maladie de Beth, en revanche, ne semble pas tirer pleinement parti de son poids émotionnel à travers ce récit non chronologique.