‘Libtad’ : Clara Roquet nous raconte ses débuts à Cannes
saut
2015, réalisé par Clara Roque (Mara, Barcelone, 1988) au revoir, elle raconte le court métrage sur les rêves et la démission d’une employée de maison après le décès d’une femme âgée dont elle s’occupait.C’est le point de départ libre, mais il a fallu six ans pour que le projet devienne réalité.En cours de route, Rocky a écrit des scénarios pour des films tels que 10 000 kilomètres (2014) ou jours futurs (2019), tous deux de Carlos Marqués-Marcet ; Pétra (2018), Jaime Rosales, ou fournir (2020), Ventura Durall. « Je me sens à l’aise d’écrire pour les autres », a-t-elle déclaré. « Mais je voulais raconter cette histoire, et je pense que c’est un sujet très personnel qui n’est pas transférable. C’est pourquoi j’ai décidé de commencer à réaliser. » Pendant ce temps, Roque a entendu de nombreuses femmes qui ont dû quitter leur famille pour s’occuper des autres. Témoignage : « Cela m’a semblé une métaphore d’un manque de privilège. »
Personne-ressource accessible
Le film est raconté du point de vue de Nora (Maria Moreira), mais les autres personnages sont d’une importance fondamentale pour façonner son regard. Toutes deux sont des femmes et représentent des positions diamétralement opposées : Teresa (Nora Navas) incarne la bourgeoisie aisée et son faux paternalisme, tandis que l’aide-soignante immigrée Rosana reflète l’asservissement institutionnel de la classe ouvrière. La présence de Libertad (Nicolli García) dans cet environnement répressif va choquer Nora et déclencher une série de conflits moraux autour d’elle. « De l’enfance à l’adolescence est un moment charnière pour établir son identité et décider de la séparer ou non de ses parents. La question à laquelle j’essaie de répondre dans le film est de savoir s’il est possible que les liens d’amitié se brisent pour abaisser les barrières de Classe sociale ».
Balise de génération
Le concept de « liberté » se manifeste tout au long du film à travers ces liens qui nous relient à notre environnement et à notre patrimoine. Cette liberté est également associée à la dignité, à la responsabilité sociale, à la suppression des préjugés et à la nécessité de faire preuve d’empathie envers les autres. Roquet utilise tous ces éléments pour configurer une œuvre à la fois lumineuse et inconfortable, complexe et transparente. libre Un verre du cinéma Lucrecia Martel d’Alice Rohrwacher, les deux réalisatrices ont abordé des éléments similaires de leurs univers particuliers. « Pour ma génération de cinéastes, marais Cela a été une influence fondamentale, une sorte de phare. »
Cupidon pare-balles
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