leurre
direction: Sophie Coppola
distribuer: Nicole Kidman, Colin Farrell, Elle Fanning, Kirsten Dunst, Angourie Rice
Titre en VO : déconcerté
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2017 Date de sortie: 18-08-2017 point final: 91 le sexe: drame, western Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Sophie Coppola la photographie: Philippe Lesaud
sommaire: Un soldat syndical (Colin Farrell) est au cœur de certains résidents du centre lors de son séjour au pensionnat pour filles du Commonwealth, qui sera finalement un désastre pour les femmes et lui-même.
la revue
La meilleure : Nicole Kidman, dans une grande année de renaissance de l’art.
Pire encore : sa sobriété pourrait être confondue avec un manque de personnalité.
Contre : Sergi Sanchez
La tentation a été proposée comme une réponse sévère à « El seductor » (1971). Si Don Siegel a mis l’idée de la masculinité à la hauteur du féminisme le plus radical dans un film moite d’agression, Sofa Coppola opte pour la sobriété laconique et le désir de l’auteur, à la manière de Terence Davis, sans air poétique ni intensité dramatique. Dans son stade laconique et lointain, le pouvoir du désir a disparu et la revanche des femmes contre le patriarcat est minimisée car force est de constater que Colin Farrell est loin de ce que Clint Eastwood incarnait l’idole des durs à cuire de la même année. Première de « Dirty Harry » (Don Siegel, 1971). Sofa Coppola, obsédé de ne pas se salir les mains en se faisant prendre dans la boue pulpeuse, est allé à l’autre extrême, combinant un regard féminin sensible et délicat avec une manipulation aseptique formelle. Le résultat est un film de castration sinistre, inepte et polie.
Pour : Manu Yanez Murillo
Il semble impossible de parler de « La tentation » de Couch Coppola sans mentionner « Le séducteur », une précédente adaptation du roman de Thomas P. Cullinan « Le diable dans l’image », Don Siegel en 1971 Le roman, réalisé par celui-ci, présente une sensualité indubitable et une fioriture formelle débridée. La version personnelle de Coppola, raffinée et sobre, stylisée mais allergique aux futilités populaires, semble presque l’antithèse de la précédente. Marquée par des images aux textures floues précieuses, faisant référence à l’esthétique de « Barry Lyndon » (Stanley Kubrick, 1975) ou « Hanging Rock Picnic » (Peter Weir, 1975), à partir de détails historiquement reproduits, la tentation est évidente, La plus grande vertu du label Coppola : l’engagement émotionnel indéfectible de la réalisatrice avec ses personnages, où ils défendent l’esprit de fraternité féminine pour survivre dans un environnement marqué par la violence et Game of Thrones.
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