les yeux de Julia
direction: Guillaume Moraux
distribuer: Belén Rueda Lluís Homar Francesc Orella Julia Gutiérrez Caba Joan Dalmau Boris Ruiz Pau Derqui
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2010 Date de sortie: 29-10-2010 point final: 117 le sexe: peur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Gilliam Morales, Oriol Paul la photographie: Oscar Farra la musique: Fernando Vélasquez
sommaire: Une femme (Belén Rueda) enquêtant sur la cause de la mort de sa sœur reçoit des menaces inexactes que ni son mari (Lluís Homar) ni la police ne semblent remarquer, alors que la maladie l’aveugle.
la revue
Idéal pour : son sens aigu de la vision
Le pire de tout : quelques rebondissements plutôt insatisfaisants
Le malentendu vient peut-être de Belém Rueda (actrice) + Guillermo del Toro (producteur) = orphelinat (JA Bayona, 2007), c’est-à-dire : horreur gothique à travers des tuyaux. Aucun de ceux-ci : Julia’s Eyes a un air de véritable horreur, mais c’est un thriller de volume et de taille, un thriller à suspense ou, si vous voulez, un thriller psychologique, similaire à Panic Alfred Hitchcock et Michael Powell dans Echoes of The Photographer ( 1960), faisant écho simultanément dans un climax remarquable, Rueda et le méchant se battent dans une pièce sombre, le flash de l’appareil photo s’allumant par intermittence, Raymond Burr aveuglé dans une scène homologue dans la lunette arrière (Alfred Hitchcock, 1954).
Il y a d’autres moments mémorables du deuxième film de Gilliam Morales : l’héroïne pourchassant le méchant dans un couloir sinistre, des lumières fluorescentes allumées au passage de la personne poursuivie, ou Hitchcock Spectaculaire scène de découverte Le léger tremblement du liquide dans la tasse provoque une pseudo-cécité .
Bien que le nom de Lily Langtry soit prononcé devant le juge Roy Bean, le scénario du film a plus de trous que le corps de l’ivrogne, et certains personnages paraissent plutôt obscurs (voire carrément incroyables : le personnage de Lluís Homar y est prédominant), Guillem Morales a évité tout obstacle à l’intrigue. ses pensées constantes sur le film, quelque chose dont nous avons désespérément besoin en cette ère de films esthétiquement inoffensifs. Tranches de miel, galerie secondaire juteuse : Francesc Orella (le policier qui n’y croit pas), Joan Dalmau (l’employée de l’hôtel qui en sait trop), la vénérable Julia Gutiérrez Caba (l’aveugle solitaire du dernier coup dramatique), etc. Bref, ce fut une préparation impeccable.
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