Les trois tombes de Melquiades Estrada
direction: Tommy Lee Jones
distribuer: Tommy Lee Jones, Barry Pepper, Jan Jones, Dwight Yoccam, Julio Cesar Zedillo, Melissa Leo
Titre en VO : Les trois tombes de Melquiades Estrada
Pays de citoyenneté: Amérique, France an: 2005 date de sortie: 17-02-2006 période: 121 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Guillaume Arriaga Jordanie la photographie: Chris Mengers musique: Marco Beltrami
résumé: Le corps de Melquíades Estrada (Julio César Cedillo) a été retrouvé au milieu du désert du Texas, où il a été enterré peu après son meurtre. À l’exception de Pete Perkins (Tommy Lee Jones), un propriétaire de ranch qui est le meilleur ami de Melquíades, personne n’est intéressé à découvrir l’auteur du crime.Date de sortie : 17 février 2006
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C’est un acteur de caractère, et sa présence est toujours la bienvenue, c’est le moins qu’on puisse dire, même si rien n’indique que Tommy Lee Jones aurait pu si bien faire ses débuts au cinéma. Mais la surprise est venue à la fin du Festival de Cannes de l’année dernière, qui a été fortement revitalisé par la liberté, la satire ouverte, la solidité narrative et visuelle de « Les Trois Tombes de Melquíades Estrada ». Le talent de Tommy Lee Jones dans des domaines que nous ne connaissons pas, mis à part sa présence en tant que protagoniste, combiné au scénario de Guillermo Arriaga, est en deçà d’Amores perro et d’un filigrane de 21 grammes, mais semble obligé de jouer avec le récit. garder la signature de la maison bien visible. Mais c’est lorsque ce jeu temporaire de complot prend fin et que le voyage du protagoniste pour enterrer son ami là où il le mérite commence que le film présente véritablement un cadavre. Dans ce western renaissant, à la fois hommage et parodie, au-delà de Twilight, presque chaque plan incarne l’esprit de Sam Peckinpa. Si Arriaga apporte un sens de l’ironie et de l’absurdité, où l’humour et la vulgarité vont souvent de pair, Tommy Lee Jones adopte l’humeur du vieux renard cachant un cœur sensible sous le cynisme. Pas seulement le geste de loyauté, tout le parcours à travers des terres arides et dangereuses pour retrouver les racines des morts ; mais aussi l’utilisation d’espaces ouverts et de territoires dénudés pour être un personnage aussi puissant que ceux de la frontière mexicaine. Pour les amoureux du post-western. le meilleur: Tommy Lee Jones de chaque côté de la caméra. le pire: Confusion narrative forcée.
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