les princesses
direction: Fernando Léon de Aranoa
distribuer: Candela Peña, Mikaela Nevarez, Lum Barrera, Mariana Cordero, Violetta Perez, Flora Alvarez, Alex Hondra Llorente, Monica Van Campen, Alberto Ferrero, Enrique Velen, Luis Callejo, Pere Aguilu
Titre en VO : les princesses
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2005 date de sortie: 02-09-2005 période: 113 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Fernando Léon de Aranoa la photographie: Ramiro Civita musique: Alphonse de Villalonga
résumé: Caye (Candela Peña) est sceptique vis-à-vis de Zulema (Micaela Nevárez), une autre immigrante qui s’est transformée en prostitution, mais parmi les supposés opposants, elle trouvera un miroir et une bouée de sauvetage.Date de sortie : 2 septembre 2005
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Après avoir évoqué la solitude et la famille, les quartiers et leur environnement, les chômeurs et leur avenir incertain, le regard acéré de Fernando Leon de Aranoa se tourne désormais vers une relation personnelle nouée par deux prostituées, une native, Caye et une étrangère, Zulayma, qui passent la journée entre rendez-vous professionnels, rêves plus ou moins éphémères, et luttes quotidiennes pour avancer, laissent beaucoup de poils sur leurs chatières. Comme toujours soutenu par des scénarios magnifiquement écrits dans ses films (Léon est de loin le meilleur dialoguiste de nos films), sans complètement lâcher les préoccupations du passé (encore une fois, la famille et ses silences, ses vices et ses routines) Plus qu’un personnage collectif dans ce histoire), mais sa caméra est plus agitée, curieuse et audacieuse que sa précédente prestation délicate, et le réalisateur construit un roman sans aucun alibi ni parachute (que l’on entre ou non, et c’est tout : Léon a pris tous les risques dans ce cas) , une sublime et belle chanson d’amitié féminine qui transcende tout hasard (ne cherchez pas de lectrices pour le caractère sociologique de la prostitution, ou si cela déclencherait une légalisation à son encontre) Étincelle de transformation : là n’est pas la question). Un voyage dans le cœur de deux personnages d’une simplicité trompeuse, mais, comme tous ses grands précédents, animé d’une envie entre poésie quotidienne et humour underground, velouté et discret.Pour le sociologue attentif et le public sobre. le meilleur: Candela Peña, la meilleure de sa carrière. le pire: Répétition de certains monologues de Caye, consommable.
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