Les moutons ne ratent pas le train
direction: Alvaro Fernández Armello
distribuer: Inma Cuesta, Raúl Arévalo, Candela Peña, Irene Escolar
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2015 Date de sortie: 30-01-2015 point final: 103 le sexe: la comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Alvaro Fernández Armello la photographie: David Azcano
sommaire:sommaire.Louise (Inmarquista) et Albert (Raul Arévalo) est contraint de vivre à la campagne, mais la vie idyllique à la campagne commence bientôt à prendre un visage moins convivial. Bien que le couple n’ait pas eu le meilleur temps, Louisa était obsédée par l’idée d’avoir un deuxième enfant, même au prix du sexe le plus indifférent qu’on puisse imaginer. C’est Juan qui n’envisage même pas d’entrer sur le terrain (albert saint jean(école erin), une jeune femme enthousiaste de 25 ans qui a vu une bouée de sauvetage, même si elle n’avait pas prévu la folie de son âge. De son côté, la sœur de Louisa, Sarah (candela pena), elle avait l’habitude de canaliser son anxiété à travers les hommes, et elle ne s’y est pas vraiment habituée jusqu’à ce que Paco se présente (Georges Bosch), une journaliste sportive qui semblait même disposée à marcher dans l’allée avec elle. Ou elle pense…
la revue
Meilleur : Candela Peña, qui a montré du talent à chaque apparition.
Le pire : un léger ralentissement.
La première surprise de « Sheep Don’t Miss the Train » est la validation (simple blague ici, mais incontournable) Alvaro Fernandez Almelo n’a pas perdu sa piste de comédie, et il n’a même pas perdu son goût pour les grands dialogues après son retour au cinéma après une longue tournée télévisée Mais pas superficiel (avec quelques réfutations très raisonnables), ni l’observation fine de son entourage. Il ne s’agit plus d’adolescents (ou de post-adolescence), mais de personnes mûres qui pourriront avec un manque de motivation, de perspectives et de direction claire. Il est temps de changer de vêtements… ou de nager et de ranger vos vêtements ? Les personnages veulent savoir.
Dans « Les moutons ne manquent pas le train », il y a de la place pour le rire, mais cela laisse tout de suite place à deux tragédies, aussi humoristiques soient-elles, toujours des tragédies : une femme ensorcelée fantasmant qui n’écoute qu’elle-même et ne croit qu’elle-même (Candela Peña, gigantesque) et le fantasme d’un malade d’Alzheimer (Miguel Rellán, grandiose) qui s’interroge toujours sur les conditions de circulation. J’espère que d’autres réalisateurs de la génération d’Álvarez Armero pourront être aussi clairs que celui-ci, et en plus, nous dire des choses sérieuses en riant.
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