Les meilleurs films de 2018… selon John Waters
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Courant décembre, meilleur film de l’année Ils ont commencé à apparaître sur Internet comme des champignons.Mais un bon cinéphile connaît le plus important, celui qu’il faut imprimer et accrocher au mur, et celui qui ne s’arrête pas tant qu’il n’est pas terminé, c’est John WatersLe réalisateur de « Pink Flamingo » et artiste phare des années 70 mérite toute notre attention. Voir plus de la liste qui nous reste en 2018.
ceux-ci ont été eaux films préférés Cette année, nous le listons avec les critiques des cinéastes eux-mêmes sur Artforum.
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1 « Janet, l’enfance de Jeanne d’Arc » (Bruno Dumont)
« Un défilé religieux heavy metal radical d’école primaire, chanté en français du début à la fin. Les acteurs eux-mêmes ont l’air de rire, mais ce n’est pas une blague. C’est le meilleur film de l’année. Vous allez le détester. »
2 « Animaux américains » (Bart Layton)
« Une histoire vraie sur un criminel avec un excellent casting, insérant des coupables et des victimes d’histoires vraies, commentant l’action. La folie du gang d’adolescents est quelque chose à regarder. »
3 « Nico, 1988 » (Suzanne Nikchiarelli)
« Un petit biopic triste et audacieux qui pose la question : ‘Est-il possible pour un toxicomane d’avoir de la dignité ? « La réponse est non. Trine Dyrholm plonge la tête la première dans le désespoir du monde du divertissement avec détermination en tant que notre héroïne épris d’héroïne. »
4 « Maman et papa » (Brian Taylor)
« Une comédie noire étonnamment horrifiante et bien ciblée sur le jour où chaque parent en Amérique décide de tuer son propre enfant. Des délires! »
5 « Tache aveugle » (Carlos Lopez Estrada)
« Tu vas t’énerver. Tu vas t’identifier à eux. Tu vas t’étouffer avec tes excuses pour la gentrification. Le film le plus intelligent et le plus drôle sur la race et la classe depuis très, très longtemps. »
6 « Brouillard vert » (Guy Madin, Evan Johnson, Galen Johnson)
« Une ode avant-gardiste à San Francisco, la plus cinématographique de la ville, est entièrement racontée à travers des extraits de films tournés là-bas, mais tous les dialogues ont été coupés afin que des parties de films autrement sans importance puissent désormais être réalisées. » L’abstraction est habile, étrangement frappante et presque parfaite. »
7 « Garde partagée » (Xavier Legrand)
« Divorce, jalousie, misogynie et violence physique, plus les dommages psychologiques subis par les enfants – le film ‘Feeling Bad’ de cette année est si bien fait et me rend heureux, heureux, heureux! »
8 « Point solaire » (Matthieu Porterfield)
« Un réalisateur hétérosexuel peut-il aimer son homme principal comme Paul Morrissey l’a fait pour Joe Dallesandro dans ‘Trash’? Il semble que oui. » – entrer dans la vie de la classe moyenne inférieure à Baltimore. »
9 « Laisse tomber : Los Angeles 1982-1992 » (John Ridley)
« Un excellent documentaire sur les émeutes de Rodney King qui vous a d’abord fait haïr les flics, puis les blancs, puis les racistes afro-américains, puis les racistes coréens, puis vous avez vous-même oublié tous les détails de la tragédie. J’ai pleuré ».
dix « Feu vert permanent » (Dennis Cooper, Zach Farley)
« Un poème cinématographique lent, silencieux et sexy sur de belles adolescentes déprimées qui aiment fabriquer des bombes et veulent se faire exploser. »
Mireia Mullor Les films et séries qu’elle écrit dépassent ses capacités, surtout s’ils lui permettent de parler d’histoires oubliées sur grand écran, des revendications du féminisme, des films du Studio Ghibli et d’Agnès Varda.
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