Les chroniques de Riddick
direction: David Tash
distribuer: Vin Diesel, Colm Feore, Thandie Newton, Judi Dench, Karl Urban, Alex Davalos, Linus Roach
Titre en VO : Les chroniques de Riddick
Pays de citoyenneté: utiliser an: année 2004 date de sortie: 27-08-2004 période: 115 le sexe: excellent Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: David Tash la photographie: Hugues Johnson musique: Graeme Revell
résumé: Lors de son évasion de la justice cosmique, Riddick (Vin Diesel) atterrit sur la planète Helion Prima. Là, il se retrouve au milieu d’une guerre entre les habitants et les Nécromanciens, une race de prêtres samouraïs qui proposent la croyance religieuse ou la destruction massive. Riddick aidera les envahisseurs tout en découvrant quelque chose sur les origines de son propre mythe.
critiquer
En 2000, David Twohy, réalisateur du film très étrange et très apprécié They Have Come (1996), a porté à l’écran un film de genre tout aussi inhabituel avec les insaisissables Pros, qui sympathisent avec des publics de tous types, et même pour certains autres critiques vicieux désireux de revendiquer les vertus de la série B et du space opera, est un premier et chaque coup: Pitch Black. Le film est aussi une lettre de présentation pour un personnage futuriste (la star desperado Riddick) et le tremplin ultime pour son acteur Vin Diesel (qui appartient à l’école d’interprétation des videurs de boîte de nuit) en héros d’action alternatif. Quatre ans plus tard, The Riddick Chronicles est plus une suite que le premier volet d’une saga dérivée qui vise à offrir une alternative macho et moite au classique de George Lucas. C’est bien de trouver un film de genre qui ne s’arrête jamais, avec des doublures chanceuses, et l’idée occasionnelle qui fonctionne aussi bien que folle (visitez le crématorium de la planète ignée). Dommage, avant de pouvoir dire que la série B à succès a un caractère potentiellement charismatique, il faut maintenant dire l’hypertrophie baroque CGI (en effet, le film semble avoir été conçu par la réincarnation web du sculpteur Gregorio Fernández) pour servir Comme le l’intrigue est beaucoup plus fine que son packaging, la fusion esthétique est typique de l’indigestion des pires couvertures de SF récentes, et une attitude plus proche d’un proxénète que d’une véritable masculinité. Bien sûr, la fin ouverte de la suite vous invite à vous peindre à nouveau au box-office lors de sa diffusion. Au cas où les choses s’améliorent. Pour ceux qui ont besoin d’une alternative pour peaufiner l’univers Lucas. Le plus : sa promesse d’action épidermique. Le pire : son épaisseur esthétique.
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