Les 12 meilleurs films de Daniel Day-Lewis selon IMDb
Jason Merritt/TermGetty Images
Sir Daniel Day-Lewis, né Daniel Michael Black Day-Lewis le 29 avril 1957 à Kensington, Londres, est probablement l’interprète vivant le plus respecté par les critiques et le public. Un exemple du dévouement et du talent d’acteurs qui ont remporté trois Oscars (et été nominés à trois autres reprises), deux Golden Globes, quatre BAFTA, trois du SAG…
Né et élevé à Londres, sa carrière d’acteur est à peu près héritée de lui. Son grand-père maternel, Sir Michael Balcon, était un grand cinéaste britannique, sa mère, Jill Balcon, une actrice de théâtre d’origine juive, et son père, Cecil Day-Lewis Day-Lewis) était un poète de la reine Elizabeth II. Avant d’être admis à la prestigieuse Bristol Old Vic Theatre School, il a été membre du National Youth Theatre où il a étudié le théâtre et, comme nous l’avons vu, obtenu d’excellents résultats. Bien qu’il se distingue par son talent inné sur scène au National Youth Theatre de Londres, il postule à un emploi d’ébéniste, mais se voit heureusement refuser en raison de son manque d’expérience.
Il faut le voir brièvement sur nos écrans’Gandhi‘ (Richard Attenborough, 1982), mais quand il a vraiment attiré l’attention des connaisseurs, c’est en 1985, grâce à son travail dans ‘mes beaux vêtements‘ (Stephen Freys) et ‘chambre avec vue‘ (James Ivoire). Il n’a pas manqué de se consacrer comme l’un des acteurs les plus importants de sa génération.mon pied gauche‘ (Jim Sheridan, 1989).
En juin 2014, il a été choisi par la reine Elizabeth II comme chevalier des arts de la scène. En novembre 2014, il a été officiellement fait chevalier par le prince William au palais de Buckingham.
Après être devenu un talent incontesté, nous revenons sur la carrière de l’acteur avec 12 des meilleurs films dans lesquels il a joué, en utilisant les notes des utilisateurs d’IMDb, la base de données d’audiences de films la plus complète d’Internet. Attention, on ne parle pas de sa meilleure performance, on parle du meilleur film sur lequel il ait jamais travaillé. Voici le résultat, préférez-vous ?
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1 12. « Dimanche, putain de dimanche » (John Schlesinger, 1971)
Day-Lewis a décroché son premier (et petit) rôle dans cette histoire d’une femme d’âge moyen et d’un médecin qui ont une liaison différente avec la même personne.
Remarques: 7’1
2 11. « L’âge de l’innocence » (Martin Scorsese, 1993)
Newland Archer, un gentleman de la haute société new-yorkaise, est fiancé à May Welland, une jeune femme de la même classe sociale. Mais ses sentiments ont changé lorsqu’il a rencontré la cousine peu conventionnelle de May, la comtesse Olenska. L’un des joyaux les moins commentés d’Essential Martin Scorsese, basé sur le roman d’Edith Wharton.
Remarques: 7’2
3 10. « L’insoutenable légèreté de la vie » (Philip Kaufman, 1987)
Basé sur le roman tchèque de Milan Kundera, Day-Lewis joue le protagoniste, un chirurgien lubrique essayant de se libérer des chaînes de l’engagement, du consumérisme et même de sa quête constante de liberté.
Remarques: 7’3
4 9. « Une chambre avec vue » (James Ivory, 1985)
Dans le drame d’époque, Day-Lewis joue l’amour forcé de la ville que le protagoniste tente d’échapper et est charmée par un jeune homme qu’elle rencontre pendant ses vacances à Florence.
Remarques: 7’3
5 8. « Lincoln » (Steven Spielberg, 2012)
Le troisième et actuellement dernier Oscar a été remporté par Day-Lewis, cette fois grâce à la puissante description de Spielberg des derniers mois de la vie du seizième président des États-Unis d’Amérique.
Remarques: 7’3
6 7. « Lignes invisibles » (Paul Thomas Anderson, 2017)
Le brillant film de Paul Thomas Anderson nous transporte dans le Londres d’après-guerre, où la star de la mode britannique Reynolds Woodcock voit sa vie contrôlée s’effondrer lorsqu’il rencontre sa muse et son amant.
Remarques: 7’5
7 6. « Les gangs de New York » (Martin Scorsese, 2002)
La construction proposée par Scorsese d’un personnage new-yorkais militant au niveau de la rue mettra du temps à convaincre les critiques. Des années plus tard, il semble gagner peu à peu du terrain, ce qui est assez juste pour un film qui a osé rêver d’un classique au milieu des années 2000.
Remarques: 7’5
8 5. « Le Dernier des Mohicans » (Michael Mann, 1992)
L’acteur a joué un homme blanc élevé par les Indiens Mohican au milieu du XVIIIe siècle avec un succès significatif et universel. C’est formidable de voir notre protagoniste courir au ralenti.
Remarques: 7’7
9 4. « Mon pied gauche » (Jim Sheridan, 1989)
L’acteur a remporté son premier Oscar pour avoir incarné la peintre et auteure irlandaise Christy Brown, une artiste atteinte de paralysie cérébrale qui a réussi à se bâtir une carrière réussie malgré son handicap physique.
Remarques: 7’9
10 3. « Gandhi » (Richard Attenborough, 1982)
Bien qu’il soit brièvement apparu dans « Sunday, Bloody Sunday » (John Schlesinger, 1971), c’était en fait la première apparition sur grand écran de Day-Lewis. Son rôle n’est pas important, il incarne un jeune homme qui insulte le pauvre Mahatma Gandhi, mais c’est la première pierre de son incroyable carrière.
Remarques: 8’0
11 2. « Au nom du père » (Jim Sheridan, 1993)
Un merveilleux drame carcéral, dans lequel Pete Postlethwaite et Daniel Day-Lewis incarnent un père et son fils injustement emprisonnés après une sanglante attaque de l’IRA.
Remarques: 8’1
12 1. « Ambition » (Paul Thomas Anderson, 2007)
Paul Thomas Anderson a fait sensation avec son puissant protagoniste, Day-Lewis, dans ce nouveau classique du 21e siècle. Avidité, famille et religion se mêlent dangereusement autour d’un rôle sublime pour lequel l’acteur remporte son deuxième Oscar.
Remarques: 8’2
Le fils de Spielberg, Ricardo Rosado, l’assistant de Lynch, est similaire à Ikari.
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