le temps des amoureux
Gabriel Byrne et Emmanuelle Devos mènent une vie amoureuse en moins de 24 heures.
direction: Jérôme Bonnell
distribuer: Emmanuelle Devos, Gabriel Byrne, Aurélia Petit, Laurent Capelluto, Gilles Privat
Titre en VO : temps de l’aventure
Pays de citoyenneté: La France an: 2013 Date de sortie: 21-11-2014 point final: 105 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Jérôme Bonnell la photographie: Pascal Lagrifour la musique: Ralph Coonan
sommaire: Voyage en train vers Paris. Deux inconnus se regardent, un geste simple qui va changer la vie de la Française Alix (Emmanuelle Devos) dans la voiture et du mystérieux Irlandais (Gabriel Byrne) assis devant elle. Alix est une comédienne de théâtre qui se rend à Paris pour un casting. Doug, professeur de littérature à Londres, se rend à l’enterrement d’un ami. L’opportunité et l’attraction sont les alliées parfaites pour l’attrait d’une aventure passionnante. Les doutes, les rêves, les fantasmes et les peurs sont quelques-uns des sentiments et des sensations que ressentent nos protagonistes lorsque leurs chemins se croisent.
la revue
Le meilleur : Devos, comme toujours.
Pire encore : parfois, l’intrigue ressemble à une carte qui a été visionnée mille fois.
Certaines critiques du film loin d’être trivial insistent sur le fait qu’il s’agit presque d’une version presque troisième âge de « Before… » de Richard Linklater.Paradoxalement, cette soi-disant maturité s’accompagne de plus de viande (littéralement) et d’une théorie moins sentimentale, suggérant que Son réalisateur aspirait à capturer certains moments instantanément au niveau de la peau, plutôt que d’analyser par cerveau des relations interrompues.De plus, le sous-genre Brief Encounters existait bien avant la trilogie susmentionnée, faisant de The Sum of Debt non seulement un titre si disparate en idéologie et en prestige que le canon fondateur de David Lean, qu’il partage même une intrigue Trunk, plus évidente. Les exemples incluent « Vacation in Rome » (W. Wyler, 1953), « Last Tango in Paris » (B. Bertolucci, 1972), « The Woman Next Door » (F. Trufaut, 1981) ou « Falling in Love » (U Grosbard, 1984). Oui, flirtant avec le preppy, mais aussi fier d’être cohérent avec le travail sans concession de ses interprètes dévoués, Jérôme Bonnell a fait un travail qui fonctionne à part entière, et s’il n’est peut-être qu’une caisse de résonance pour les fans, il finit par manier quelque chose de proche de sa propre personnalité.
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