Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi
direction: Pierre Jackson
distribuer: Elijah Wood, Ian McLean, Viggo Mortensen, Liv Tyler, Sean Astin, Billy Boyd, Dominic Monaghan, Orlando Bloom, John Rhys-Davies, Christopher Lee, Cate Blanchett, Brad Dourif, Miranda Otto, Ian Holm, Andy Serkis, David Wen Ham , Bernard Colline
Titre en VO : Le Seigneur des Anneaux : Le Retour du Roi
Pays de citoyenneté: Nouvelle-Zélande, États-Unis an: Année 2003 Date de sortie: 17 décembre 2003 point final: 185 le sexe: excellent Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Peter Jackson, Philippa Burns, Francis Walsh la photographie: André Laney la musique: Howard Shore
sommaire: Le long voyage de la Communauté de l’Anneau touche à sa fin. Déterminée à détruire le monde humain, l’armée de Sauron attaqua Minas Tirith, la capitale du royaume de Gondor, avec un grand nombre d’orcs féroces et de guerriers de la mer d’Uruk. Gandalf (Ian McLean) tente désespérément d’unir les forces sans chef du comté, tandis que le roi Theoden (Bernard Hill) convoque tous les guerriers de son royaume, Rohan, pour qu’ils s’unissent et combattent à Perrin. Parmi les combattants figurent la nièce du roi Eowyn (Miranda Otto) et Merry the Hobbit (Dominic Monaghan). Mais la force rassemblée n’est pas suffisante pour s’opposer à l’armée de Sauron, et le seul moyen de sauver l’humanité d’un destin misérable est qu’Aragorn (Viggo Mortensen) démissionne du trône auquel il a renoncé pour guider son peuple et ses aventures. Rejoignez Legolas l’elfe (Orlando Bloom) et Gimli le nain (John Rhys-Davies) le long du Chemin des Morts, ordonnant à tous les soldats tombés au combat de le suivre dans la guerre. Pourtant, Aragorn est conscient de l’avantage de Sauron et sait que tous sont destinés à se sacrifier au combat pour distraire l’ennemi afin que Frodon (Elijah Wood) ait plus de temps pour détruire l’Anneau. Pendant ce temps, guidés par le maléfique Gollum, Frodon et Sam (Sean Astin) poursuivent leur périple sur le sombre chemin du Mordor. Au fur et à mesure qu’ils progressaient, Frodon a perdu davantage de son humanité, sachant que chaque pas le rapprochait de l’autodestruction.
la revue
La trilogie de Peter Jackson touche à sa fin, et il est temps de faire le point. Allez, la troisième partie est l’épopée la plus imposante de tout le film, et la plus spectaculaire, elle illustre le mieux ce qui constitue l’incroyable imaginaire visuel des Néo-Zélandais, le meilleur du film, impressionnant. Une prise en main profonde du rythme narratif du cinéaste : bifurcation, comme deux tours, en plusieurs sous-intrigues impliquant des personnages différents, alternance d’intimité et de collectif, spectaculaire et secret, souffle épique incontrôlable et faiblesse humaine, peur et cupidité, dans cette véritable tournée de près de 3 heures et demie, personne n’a jamais eu l’impression que la matière narrative peut rejoindre le narrateur, matant spectaculairement le reste des éléments, complexe et savamment pesé, son magma, puissant développement s’établit. Jackson a eu le courage et la volonté d’un grand réalisateur d’emmener sa créature là où il l’imaginait ; d’immerger le public comme si le cinéma était encore innocent (se rendent-ils compte que malgré la galerie monstre, on n’a pas affaire à un discours postmoderne, à l’histoire est raconté avec tout le sérieux d’en croire qui ils croient ? Compte ?), dans un bain d’émerveillement, terrifiant, héroïque, touchant. Et la volonté de construire un discours sur l’aventure elle-même : cette fin, où Frodon revenait au quotidien des siens, avait été mordu à jamais par la folie de l’aventurier, et s’était transformé, nous intuitivement, en A Wanderer of Your Own , la meilleure fin d’un film terrifiant, surhumain et admirable. Il faut beaucoup de temps pour revoir un film aussi impressionnant, un point d’arrivée, une frontière à franchir dans le futur ; on aimerait être sûr qu’après cette broche impeccable on aura le plus spectaculaire de toute l’histoire du cinéma, l’un des films d’aventure les plus impressionnants à apparaître dans Le Seigneur des Anneaux. Pour les pro-Tolkien et toute autre créature dans l’univers. Le meilleur : la maîtrise du rythme narratif de Jackson tout au long de la trilogie. Le pire : pas de quatrième partie.
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