Le monde de Caroline
direction: Henri Selick
Titre en VO : caroline
Pays de citoyenneté: utiliser an: 2009 date de sortie: 05-06-2009 période: 100 le sexe: dessin animé Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Henri Selick la photographie: Pete Kozaczyk musique: Bruno Kuras
résumé: Coraline découvre un monde alternatif cachant une version alternative de sa vie derrière une porte secrète dans sa nouvelle maison. À première vue, la réalité alternative est meilleure que la vraie : ses parents l’écoutent et passent plus de temps avec elle, même s’ils ont des boutons plutôt que des yeux. Mais les choses commencent à mal tourner et Coraline veut rentrer chez elle.
critiquer
La meilleure chose : des films comme celui-ci sont déjà possibles.
Le pire de tout : des conseils avertissent de sa turbidité.
Neil Gaiman est l’une des forces les plus en vue du star system des auteurs de bandes dessinées, avec Alan Moore, Grant Morrison et Mark Millar L’un d’entre eux, qui a contribué à sa carrière littéraire de plus en plus pertinente en 2002 avec un roman jeunesse inhabituellement sombre, « Coraline « , ce qui pourrait bien être tout à fait dans son Alice au pays des merveilles personnelle.
Armé de ce matériau de départ, Henry Selick (peut-être l’animateur le plus visionnaire, faisant les hypothèses les plus inacceptables sur le goût collectif) a réussi à faire le film, ce qui est probablement ce qu’il a commencé à partir de la base Noël L’Étrange Noël de monsieur Jack (1993) doit lui à ses fans inconditionnels) : un travail qui corrige et augmente les réalisations précédentes, de plus, le talent créatif du cinéaste est libre de donner une vision très personnelle de l’œuvre de Gaiman Interpretation, sans rapport avec l’illustrateur Dave McKean et ses précédentes interprétations graphiques par le dessinateur P. Craig Russel.
Selick amplifie l’original et introduit de nouveaux éléments, comme cet étrange compagnon de voyage nommé Wybie, qui n’agit jamais comme un personnage dissonant, mais sa plus grande réussite est son attention frénétique aux détails et sa récitation constante des prouesses techniques. L’agitation qui se cache dans chaque histoire pour enfants ne reste plus dans le sous-texte, mais infecte le roman du début à la fin. Coraline, une héroïne grossière obligée de choisir entre la réalité grise intermittente et l’éclat d’un fantasme pervers, captivant, cannibale, est passée d’un roman brillant à un film parfait.
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