Lame 2
direction: william del toro
distribuer: Wesley Snipes, Chris Christopherson, Norman Reedus, Leonor Varela, Ron Perlman, Luke Goss, Santiago Segura
Titre en VO : Lame II
Pays de citoyenneté: utiliser an: année 2002 date de sortie: 19-04-2002 période: 115 le sexe: film d’horreur Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: David S.Goyer, Mav Wolfman, Gene Curran la photographie: Gabriel Béristan musique: Marco Beltrami
résumé: Une nouvelle classe de vampires est née. Une créature qui se nourrit de sang humain et de vers suceurs de sang. Blade (Wesley Snipes) est une créature maléfique qui doit se battre pour gagner. Ou mourir. Pour ce faire, il doit décider s’il peut faire confiance à son ennemi juré, les vampires, qui se sont regroupés pour former une organisation appelée les « Vampires ». L’objectif est clair : mettre fin à cette nouvelle forme de mal, à laquelle il entend imposer son règne de terreur.
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Dionysiaques avides de sang et de vampires, fans d’orgies, les vampires ne sont pas de pathétiques folles de poussière, nous avons attrapé les clous (ou pieux) des veines jugulaires, la maladie et le sexe sans fin. Héros afro-américain de Marvel Comics, le sportif Snipes s’est adapté à lui avec tant d’arrogance, soutenu par ceux d’entre nous fatigués des vampires efféminés, versant des larmes de mal du pays alors qu’il reprenait le sale boulot de Tobe Hooper. Heureusement, del Toro est l’un de ces vieux orcs nostalgiques dont la myriade de vampires mutants sont laids, dégoûtants et sauvages (plus Nosferatu que Tom Cruise portant une perruque) que tout fan de Deodato ou du déchaînement de zombies de Bruno Mattei souhaitera. pour (plus de combat, plus de plaisir, plus de tripes) sans que personne ne soit trompé, « Blade II » est une progression géométrique de l’infection, de la claustrophobie sans arrêt, du massacre et de la chasse, du romantisme bizarre (étreinte dans l’égout mortel, dernière aube) et du décalage typique de charro exploitation (touche de catch avec Ron Perlman en duel). Il n’y a pas de scénario bien sûr, et si on l’analyse à demi-sérieusement, l’intrigue s’effondre comme un bicharraco mordant au contact argenté, mais c’est pareil : les grandes vertus du genre, qu’il ait été cloné par le designer karaté ou post- matrice, si Quelqu’un l’aime, et il aura même une overdose culturelle pour son auto-hommage à « Cronos » (le potin explosif autour de son cou) ou le siège du Roi Vampire (un Prospero qui met sa vie en danger avec son préféré monstres) Luo) s’appelle Caliban. Storm de Shakespeare et Prometheus de Mary Shelley n’hésitent pas à plonger dans le rouge liquide vivifiant pour peindre une bande dessinée d’arts martiaux colorée. >> Porteurs du virus corné pour les cinéphiles mutants. Le meilleur de tous : Blink in Booty. Le pire de tout: Bloodpack a besoin de plus de génialité (ou d’un film à lui tout seul).
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