lâche
direction: José Corbacho, Juan Cruz
distribuer: Lluís Homar, Elvira Mínguez, Paz Padilla, Antonio de la Torre, Javier Bodalo, Eduardo Espinilla, Eduardo Garé, Ariadna Gaya
Titre en VO : lâche
Pays de citoyenneté: Espagne an: 2007 Date de sortie: 21/04/2008 point final: 89 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: José Corbacho, Juan Cruz la photographie: David Omed la musique: Chambre Paul
sommaire: Gaby est un garçon de quatorze ans qui a peur d’aller à l’école. Peut-être sa peur était-elle due à son camarade de classe Guille, qui avait peur de décevoir son père. Mais les parents de Gaby et Gale étaient également terrifiés. Le père de Gaby, Joaquín, avait peur de perdre son emploi et Merche avait peur de perdre son emploi. Le père de Guille, Guillermo, a peur des forces qui l’entourent, et sa mère, Magda, a peur de ne pas connaître son fils. Et puis il y a Silvario, le propriétaire de la pizzeria, qui n’a peur de rien.
la revue
approuver, soutenir, apprécier, favoriserFausto Fernández.
Après quelques « snacks » sympathiques et surprenants, mais avec une pointe d’amertume, le duo Corbaggio et Cruz a concocté une entrée coriace, (vous voyez) la viande controversée. Les lâches semblent avoir une vision quelque peu simpliste de l’intimidation dans son emballage (film-brillant), malgré le fait qu’il s’agit d’un traité courageux sur la solitude des maltraités et l’impuissance violente des adultes envers les plus jeunes. C’est ce gouffre sans fond qui sépare parents et enfants (un gang merveilleusement pacifique découvre le monstre caché derrière sa progéniture) qui offre le meilleur moment pour un film qui ne cherche pas le consensus, les plaintes ou les solutions. Le film plonge dans le thème de l’auteur : les rituels quotidiens (légèreté, drame, désespoir) d’une société urbaine plongée dans la peur. Dans ses films, en pleine mutation de forme (et dans ce récit d’évasion et de violence, la caméra ne s’arrête pas), tout ce qu’on aurait pu croire d’abord n’était pas ce qu’on croyait : la fin n’était pas bon, l’ange gardien bien et mal traditionnel. Ne vous méprenez pas, car Cowards, avec son regard de tigre bidirectionnel et acide, est la réponse authentique de Hospiwood au niveau de la rue aux classiques comme The Karate Kid.
être opposé àde Sergi Sanchez.
Ce sont les dangers du cotumbrisme dans l’actualité, ceux qui cherchent la manipulation et la simple causalité dans les clichés du quotidien. Ainsi est né Lâche, avec un esprit qui a touché la conscience des parents et des élèves, criant que nous sommes tous des victimes et des bourreaux, si une personne harcèle elle est condamnée à harceler, vous apprenez à vos enfants à se protéger quand vous êtes victime. Inclinez-vous devant votre patron ou votre ami, le silence et la passivité sont les ennemis de la justice morale. Le naturalisme de The Coward est aussi hypocrite que l’éthique de son protagoniste : peu de films trahissent plus maladroitement la structure forcée de son discours, le sensationnalisme et l’arbitraire de ses tournures dramatiques (ce gangster pizzaiolo s’il vous plaît !), l’affectif incohérent avec ses personnages . L’humanité des « snacks » a été remplacée par un nihilisme vain qui nous éloigne de toute sympathie pour les conflits qui surgissent. Si l’on y ajoute la piètre interprétation de l’acteur adolescent, l’aspect télévisuel de la scène, et l’indécision des vues de Corbaggio et Cruz (de soutenir une accusation « œil pour œil », on passe à condamner l’autodéfense : que reste-t-il de nous ?) , il nous restera un malheureux lieu anti-harcèlement, un film oublié.
le meilleur: Acteur (adulte).
le pire: Sa métaphore est trop évidente.
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