La vengeance d’Arthur et Malthazar
direction: Luc Besson
distribuer: Freddie Highmore, Mia Farrow, Ronald Crawford, Robert Stanton, Penny Balfour
Titre en VO : La vengeance d’Arthur et Malthazar
Pays de citoyenneté: France an: 2009 date de sortie: 19-02-2010 période: 93 le sexe: animation, aventure, comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Luc Besson, Céline Garcia la photographie: Thierry Arbogast musique: Eric Serra
résumé: Arthur est content car ce soir la dixième lune est passée et il peut enfin retourner au pays des Minimoys pour revoir Selenia. Au village de Minimoy, on lui prépare un grand banquet, et la petite princesse revêt sa robe de pétales de roses. Mais le père d’Arthur a choisi le jour qu’il avait attendu si longtemps pour annoncer qu’ils écourteraient leurs vacances et quitteraient la maison de grand-mère plus tôt. La famille était sur le point de partir lorsqu’une araignée plaça un grain de riz dans la main d’Arthur avec un message de détresse écrit dessus. Cela ne peut signifier qu’une chose… Selena est en danger ! Arthur n’y réfléchit pas beaucoup et décida de le sauver. Bien que pour cela, il ait dû improviser un chemin aventureux, tombant d’abord dans le bar de Max, s’écrasant sur l’armée de Krob, le nouveau tyran des Sept Royaumes, sauvant la peau de Betameche, combattant des souris, des grenouilles et des araignées à fourrure… Juste pour savoir , ils ne lui avaient pas encore envoyé de message lorsqu’il est arrivé au village de Minimoy. Qui aurait pu tendre un piège aussi rusé à ce jeune héros ?
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Mieux encore : il est animé à un niveau élevé.
Le pire : des personnages en chair et en os.
La jeunesse postmoderne qui a récupéré les styles les plus colorés et les plus superficiels des bulles de savon consuméristes du milieu des années 80 ? Dans The New Blur (Comic, 2 American Culture), Luc Besson semble terminer sa carrière de réalisateur par un retour d’enfance. Si c’est le précédent, et c’est important, Arthur y los minimoys porte à l’écran une saga littéraire bien à lui (avec quelques illustrateurs, l’apogée du mal), dans laquelle l’influence des comics de Metal Hurlant sur ses débuts tient à Pilote Bande dessinée, dans cette suite, les choses se transforment en petites aventures dignes de Peyo (via Alfonso Azpiri). La partie centrale, simple transition, une trilogie inutile qui s’achèvera sur Arthur et la guerre entre deux mondes, cette Revanche d’Arthur et Maltazard est une bande-annonce interminable dans laquelle rien ne se passe, les protagonistes ne s’arrêtent pas et bavardent, leurs paroles ne valent rien utiliser. Laissant la séquence à l’imagerie réelle dans le caniveau, toute l’épreuve (Mia Farrow semble être droguée), la seule incitation est dans l’animation. À des années-lumière des hésitations du film précédent, la technologie de la suite permet à plusieurs scènes d’action (essentiellement une poursuite à la Star Wars) d’être remarquablement planifiées et résolues. Je soulignerais même le moment (mais moins) d’Arthur et de ses amis dans Sin City, car ce serait un clin d’œil au cinquième élément (majo Besson) par lequel le bogue Pixar est passé. Jusqu’à présent, les points positifs d’un caprice préscolaire d’un Gaulois autrefois pas si stupide qui n’a même pas demandé à Jeremy Irons de se déguiser en Maltazard avec des détails à taille humaine, sauvant ainsi ses propres pixels et le son de Lou Reed.
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