La reine Christina, la femme qui était autrefois un roi
direction: Mika Kaurismackie
distribuer: Marin Busca, Sarah Gadon, Michael Nyquist, François Arnault
Titre en VO : jeune fille roi
an: 2015 date de sortie: 13/05/2016 période: 106 le sexe: drame Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Michelle-Marc Bouchard la photographie: Guy Dufour
résumé: Mystérieuse, aimée d’un père mort à la guerre, rejetée par sa mère, et grandissant dans une cour luthérienne dominée par un homme qui croit n’avoir d’autre choix que d’épouser un héritier, la reine Christine de Suède tombera amoureuse Plaisir et raison . Révolutionnaire, spécialiste des arts libéraux, amie de Descartes, libre penseuse, précurseur du mouvement féministe, bref, une nouvelle européenne avec une vision politique. À la fois confuse, dérangée, excentrique et solitaire, Christina, à la cour, a sous-estimé son ingéniosité et son éveil à la comtesse Eba Spall. Christina doit choisir entre son pays, la mémoire de son père et la sienne. personnes, ses croyances religieuses et son désir de vivre la vie qu’elle veut.
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Meilleur: Actrice Marlene Buska.
Pire : On pense que ce n’est qu’un film historique
Outre sa simple fonction d’information, un film historique doit tenir compte de trois choses : 1. Il vous incite à en savoir plus sur le personnage ou l’époque à laquelle il a été représenté. 2. Les acteurs, auquel cas les actrices finissent par disparaître et deviennent les personnages qu’elles jouent. 3. Les leçons d’histoire racontées dans ce film ont des lectures contemporaines. A cela, j’ajouterai un quatrième point : le film est beau, intéressant et bien structuré.
Toutes ces prémisses sont données dans la version proposée par le sage frère d’Aki, Mika Kaurismaki, à l’image de la reine Christine de Suède. Une femme parmi les hommes sexuellement en avance sur son temps ; malgré son très jeune âge, il a eu la sagesse et la force de mettre fin à la guerre de Trente Ans et à la domination allemande en Europe du Nord ; de préserver l’art et la culture comme un bien commun. Contrairement à la première reine du cinéma, Christina Greta Garbo, Malin Buska devient littéralement la femme et l’imprègne d’une beauté étrange et non conventionnelle. Quant au troisième point, Le film peut être lu en termes de guerres de religion, de besoin de sexe libre et de besoin de culture comme élément de civilisation..
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