La loi d’Hérode
direction: Luis Estrade
distribuer: Alex Cox, Damián Alcázar, Delia Casanova, Juan Carlos Colombo, Pedro Armendáriz Jr.
Titre en VO : La loi d’Hérode
Pays de citoyenneté: Mexique an: 1999 période: 120 le sexe: comédie Couleur ou noir et blanc: Couleur scénario: Vicente Legnallo, Fernando Leon de Aranoa, Jaime Sampitero, Luis Estrada la photographie: Norman Christiansen musique: santiago ojeda
résumé: Après le lynchage d’un maire, le gouverneur décide de nommer un nouveau type : un éboueur et un ancien militant du PRI essayant de travailler honnêtement pour le peuple… jusqu’à ce qu’il sente le porno du pouvoir et décide à quoi il sert de rester dans une relation de pouvoir.
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La loi d’Hérode commence par un sage avertissement dans un proverbe mexicain populaire, offrant une condamnation ardente de la corruption qui était endémique dans la nation aztèque. Le film de Luis Estrada, toujours produit sous le mandat du PRI et sous d’énormes pressions politiques, témoigne du parti qui a dominé le gouvernement mexicain pendant la majeure partie de ce siècle, de son chantage et de son impitoyable ironie impitoyable de la logique. Contrairement à d’autres attaques cinglantes contre les dictatures latino-américaines, comme celle de García Márquez dans « L’Automne des patriarches » ou celle de Vargas Llosa dans « La Carnaval », Hérode a évité toute dureté, influence le domaine de la comédie. Grâce à la brillante interprétation de Damián Alcázar, le cycle officiellement enclenché de l’honnêteté la plus irréprochable à une soif de pouvoir shakespearienne est un fil conducteur, mais en cours de route, Ess. Trada n’a pas manqué d’appeler autant de figurants. par l’hilarant Alex Cox, une famille incarnée par la mythique Isela Vega La gérante du bordel, ou un bureaucrate manipulateur qui semble être poliment poli avec Pedro Armendáriz, font partie des opposants au maire, et une fois qu’il voit sa première ambition réalisée, il devient un dictateur autocratique, ne laissant aucune marionnette avec une tête. Comme le film le prévient, pédagogiquement et sans bafouer le trait épais, un tyran ne naît pas, il naît, et une fois monté sur le trône, il n’hésite pas à appliquer la loi d’Hérode précitée : Soit tu baises, soit tu te baises. Profitez d’une satire politique humoristique. Le meilleur : une satire aiguë tout au long du film. Pire encore : lors des dernières élections, c’est Fox, et non le film, qui a chassé le PRI du pouvoir.
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